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Gabriel Travis

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Auteur Message
Gabriel Travis

Gabriel Travis

Nombre de messages : 127
Age : 36
Age : -29 ans-
Spécialité : -Armes à feu-
Date d'inscription : 02/01/2010

Dossier personnel
Bilan de Santé: Cyborg
Relations:

Gabriel Travis Vide
MessageSujet: Gabriel Travis   Gabriel Travis Icon_minitimeLun 4 Jan - 3:29

Gabriel Travis

Personnage : Prédéfini

I - État Civil
  • Nom : Travis
  • Prénom(s) : Gabriel
  • Date de naissance - Âge : 18 Mars 2000 – 29 ans
  • Lieu de naissance - Nationalité : Bordeaux (France) - Franco-américain

  • Membre de : Black Snake
  • Compétences : Armes à feu / Discrétion
  • Rôle : Spécialiste des armes à feu


II - Bilan Psychologique


  • Description Psychologique :


    L'enfance décomposée de Gabriel l'a structuré à la manière d'un jeu de construction : différentes pièces juxtaposées pour maintenir en équilibre l'être humain. Sa réserve et sa difficulté à parler de lui ne suffisent pas à cacher son besoin d'aider autrui, cet autre qui lui ressemble sans en être un reflet. C'est dans les autres que Gabriel se définit le mieux, faute de tourner son regard vers sa propre histoire. Ainsi, Gabriel ne sera pas souvent un ami, mais plus une épaule sur laquelle se reposer sans peur qu'elle ne se dérobe.

    Les seuls aspects de sa personnalité qu'il ne néglige pas à dévoiler sont deux héritages de ses parents : le froid perfectionnisme que son père lui a inculqué, et la contondante irascibilité qui lui vient d'un contact prolongé avec sa mère.

    C'est, par nécessité ou par défaut, ce qu'il exhibe à la face de ses interlocuteurs comme première impression – impression que, finalement, il vaut mieux parler à Gabriel que lorsque c'est absolument nécessaire. Seuls ceux qui entrevoient par les interstices du venin distillé que Gabriel est autre chose que cette masse colérique aigre auront la capacité de devenir des relations – mais le chemin est ardu pour aller du statut de « connaissance » à celui d' « ami », sans parler de celui de « confident », concept incompréhensible aux yeux de Gabriel.

    Ces traits de caractères qui peuvent être perçus comme des freins dans une vie sont au contraire les moteurs de l'homme. La colère de Gabriel est avant tout tournée vers lui même, et entretient ses exigences de perfection – qui est un allié implacable dans sa vie de tireur.


  • Goûts, rêves et passions :


    Cultiver les ambitions de Gabriel n'a jamais été la priorité de ses parents. C'est lorsque la guerre éclate que la muselière qui maintenait son esprit fermé le libère. Hélas, n'est-il pas trop tard à 19 ans, dans un monde en ruine, de chercher son bonheur? La réponse est oui.
    Ainsi, Gabriel ne se pencha jamais sur ses propres inspirations, préférant de loin les desseins aux rêves.

    Pourtant, ce que l'homme cherchait inconsciemment était d'une banalité confondante : une mère aimante et réconfortante, un père fier et avisé. Sachant la chose impossible, depuis longtemps Gabriel ne pense plus à ses géniteurs, ni à les remplacer. Cependant, cela reste enfoui en lui comme son seul vrai rêve.

    De passions, il en a peu, mais les entretient avec soin. Tout d'abord, le travail bien fait : quelle joie de sentir son coeur ralentir et sa respiration profonde juste avant de presser la détente, et de toucher sa cible qui ignorait jusque là son véritable statut!

    Ensuite, sa passion pour la musique classique est son jardin secret. Il ne s'intéresse qu'à la musique dite des « virtuoses de la vitesse» : Paganini, Tartini, Korsakov, Rostropovitch... Jamais il n'ira crier sur les toits la lumière que lui inspire la musique de doigts dansants sur les cordes plus vite qu'il n'est humainement possible. Cet amour lui fut offert par ses découvertes fortuites dans la bibliothèque musicale poussiéreuse de ses parents et par une vidéo sur cet homme qui avait joué du violon dans un état de transe si profond qu'il s'en blessa les doigts.
    Finalement, c'est cet état qu'il veut approcher dans son métier.
    C'est la seule chose qu'il avouera rêver.


  • Peurs, phobies et cauchemars :


    Tout comme ses rêves et ses passions, Gabriel ne révèle pas ses cauchemars et ses phobies. Et, comme par une symétrie maussade, ses peurs ne sont pas légions : seules quelques unes se frayent un chemin dans le coeur de Gabriel, et très rarement dans la tête.

    La seule peur qu'il accepte et comprend, c'est celle de l'échec. Ancrée au fond de lui par la figure paternelle dès son plus jeune âge, l'échec est devenu mortel depuis que la guerre est au pouvoir.
    Au delà de l'échec, une phobie psychologique poursuit Gabriel, c'est celle du contact avec des personnes du sexe opposé. Depuis un certain événement de son passé qu'il s'efforce d'oublier du mieux qu'il peut jour après jour, Gabriel ne voit dans le sexe qu'une façon peu conventionnelle de se dévaloriser au profit de l'autre – et vice versa. Il peut dire que c'est un détachement motivé par un désintérêt pour la chose qui le guide, mais la réalité est qu'il s'agit d'une névrose phobique vis à vis de l'acte charnel.

    Aussi, si vous souhaitez charmer le mignon, méfiez vous mesdemoiselles : après une unique tentative lors de sa dix huitième année, Gabriel ne pensa plus aux femmes comme à des objets de fantasmes. Ou alors, dans ses nuits agitées où le tourment mène la danse.



III - Bilan Physique

  • Description Physique :


    Un mètre soixante-quinze forgé par la rudesse de la survie en milieu hostile est la première chose de notable chez Gabriel. Au départ malingre et sans autre aptitude physique que de gagner de l'embonpoint avec l'âge comme son père le fit, Gabriel pris avec le temps des muscles qui papillonnent aujourd'hui sous un épiderme glabre.

    Ne tirant aucune quelconque fierté de son corps – les joies de la séduction lui étant retirées par sa phobie – il n'est pas étonnant de constater que ses choix capillaires ont pour fonction première d'être pratiques : les cheveux longs lorsqu'il vivait en ermite, il arbore aujourd'hui des cheveux courts quand il pense à se les faire couper pour dégager son horizon.

    De son visage, on peut relever des rides d'expressions sur le front qui se sont marquées au fil des ans, pétries par le viseur de son arme et par la concentration.

    Il porte sur sa peau les lambeaux d'une période de rébellion, trop tôt avortée par le guerre, sous la forme de tatouages : une étoile sous son biceps droit et le sigle « S.L.R.S » sur son biceps gauche. Si vous souhaitez savoir ce que cela signifie, il faudra lui le torturer. Sérieusement.


  • Bilan de santé : 

    Comme la plupart des survivants solitaire, la vie de Gabriel ne fut pas une partie de plaisir, et des stigmates sont là pour lui rappeler qu'il a fait le bon choix en se ralliant à la Base.
    Sa vie précaire dans les montagnes Rocheuses durant 4 ans ne lui permit pas de se sustenter de manière convenable, et il en garde ainsi une carence en vitamines D et B12. Cela ne lui cause pas de soucis particulier, si ce n'est une fatigue intense et parfois des évanouissements lorsqu'il saute un repas.

    Le début de la guerre ne l'arrêta pas dans sa manie de fumer, d'autant plus que les cigarettes étaient le plus souvent gratuites lorsqu'il s'arrêtait dans des tabacs déserts. Il connut de longues périodes d'arrêt, notamment lorsqu'il vécut dans les montagnes, ou encore durant ce qu'il appelle « sa grande traversée du désert », qui correspond en fait à son exode par le Kansas et l'Iowa. Il n'était pas en manque cependant, loin de là.

    Il paraît sage de passer sur la suite du Bilan de santé de Gabriel : le reste n'est que égratignures, bras cassé promptement réparé par une visite dans un hôpital laissé à l'abandon ou encore conjonctivites soignées...

    Sa plus grande plaie est apparue quelques jours après son 26ème anniversaire, le 2 avril 2026 aux alentours de Lafayette dans l'Indiana. A cette époque, il s'était mis en tête de partir vers l'Est, en quête d'un nouveau foyer. Un affrontement contre un Hell Fleas tourna mal, et il reçut dans l'oeil un éclat de verre, touchant au passage partiellement le nerf olfactif. Conclusion du duel : un Hell Fleas aveugle, et un humain borgne. Plus tard, Gabriel se rendit compte qu'il avait des anosmies cycliques – durant des périodes allant de quelques heures à quelques jours, son odorat disparaissait totalement, de même que le goût des aliments. Quelques autres nerfs secondaires ont été touchés, et depuis il lui semble que sa bouche tombe légèrement du coté droit, ainsi que sa paupière droite.
    Lorsque le Docteur Osborn lui remplaça l'oeil, se fut une bénédiction : il pouvait à nouveau se défendre confortablement, et même mieux qu'avant. Son oeil avait une acuité visuelle de vingt dixième, ce qui est extrêmement pratique lorsque l'on est tireur. De plus, la vision infrarouge permet à Gabriel d'être aussi efficace de jour que de nuit. En fait de tireur, Gabriel devint un surhomme de la gâchette, même si la réhabilitation fut longue pour être à l'aise avec son nouvel oeil. Avoir une loupe du côté droit en gardant sa vision normale de l'autre côté est très déstabilisant, mais au bout de trois mois, il réussit à bouger normalement, et il fallut 6 mois pour qu'il tire comme avant. Mis à part des démangeaisons passagères, il ne garda aucune mauvaise séquelle – pas même après le coma obligatoire suite à l'opération.
    Aujourd'hui, Gabriel porte des lentilles spéciales protectrices qui, il faut bien l'avouer, ne fonctionnent pas toujours.


IV - Biographie
  • Votre vie avant la 3e GM :


    « Sylvie et Chad sont heureux de vous faire part de la naissance de Gabriel, le 18 mars 2000. »

    Ils exhibèrent quelques temps le nourrisson, puis repartirent à leurs occupations : le père s'occupât des vignobles, héritages de sa femme, la mère repartit vers ses occupations mondaines. Cet enfant n'avait été considéré que comme un objet de décoration de luxe par Madame, mais lorsqu'elle se rendit compte qu'il prenait trop de temps, elle lui vouât une haine acide et féroce. Prendre une nourrice était hors de question – on pourrait croire que ce sont de mauvais parents – aussi, jusqu'à ce qu'il soit en âge de se débrouiller par lui même, la mère ne cessa de répéter à Gabriel à quel point il était un poids pour elle, une prison qui criait la nuit et était faible à en pleurer. Le père n'avait pas le même discours. A vrai dire, il était peu à la maison car l'importation de vin de luxe prend du temps, mais lorsqu'il parlait à son fils c'était en ces termes :
    « Cesse de chouiner, Gabriel. Si tu dois être un Travis, tu dois te montrer fort et digne du nom que tu portes. Gabriel, je ne comprends pas ce que tu me dis si tu n'articules pas correctement. » Et il repartait.

    Le constat que des parents puissent ne pas aimer leur enfant ne choquait pas Gabriel, qui n'avait jamais goûté à la saveur d'une tendresse maternelle. Ce qui l'indisposait était les accès de colère de Sylvie. Ceux-ci se manifestaient toujours l'après midi, heure habituelle où, avant l'arrivée de Gabriel, elle voyait son amant. Cet homme était aussi un ami de Chad et s'appelait Hervé.

    Quand le manque de sexe rendait sa mère trop nerveuse, elle aimait trouver les prétextes les plus stupides pour punir Gabriel de la manière la plus cruelle qui soit : des miettes sur la nappe donnaient droit à du citron dans les yeux, ne pas ranger ses jouets à rester à genoux sur une règle de bois durant l'après midi...

    Un jour, le père tomba sur quelques blessures causées par une injuste punition. Il parla avec Madame, et se mirent d'accord sur des punitions plus douces. Ainsi disparurent les biscuits, et plus généralement tout ce qui avait du sucre – à part les betteraves que Gabriel avait en horreur, la télé était réservée aux grands, ses seules occupations étaient un jeu de constructions de Légo et son voisin de pallier qui était devenu son ami. Les mesquineries de la mère désintéressaient grandement le père qui pensait que la droiture d'une éducation était la marque des grands, et que les plaisirs de la vie ne font que nous détourner du vrai sens de la vie qui est la perfection.

    Pour ses dix ans, Gabriel ne reçu pas de cadeau, et pour tout gâteau une boîte de cookies car « il n'avait pas été assez sage pendant l'année qui venait de s'achever ». Il eut tout de même un autre cadeau : le retour de Hervé dans la vie sexuelle de la mère.

    Durant 3 ans, Gabriel connut une accalmie qui ne s'interrompait que s'il prenait la parole pour dire une ineptie ou une inutilité. Son père tentât de lui inculquer les bases de l'oenologie, sans succès. Monsieur tourna ainsi définitivement le dos à son fils.
    « Tu ne seras donc qu'une source supplémentaire de déception. »

    Lorsque Hervé eut un comportement déplacé envers le garçonnet, ce dernier ne sut s'il s'agissait là d'une ineptie à dire à ses parents. Quand Hervé renouvela l'expérience deux semaines plus tard, Gabriel ne dit rien. Cela aurait pu continuer des années, et aller plus loin, mais Gabriel prit son courage à deux mains et parla de ce qu'il se passait à son père. La nuit d'après, il entendit des cris dans le salon.
    C'était son père et sa mère.

    Deux mois plus tard, le famille partit pour San Antonio au Texas, patrie du père, et plus jamais il ne fut mention de l'ami Hervé, si attentionné avec la famille.
    Gabriel avait alors 13 ans.

    San Antonio se révéla être le paradis pour Gabriel. Là, il put s'éloigner de sa mère qui, soupçonnait il, le droguait. A 15 ans, il découvrit les armes à feu avec un groupe extrémiste. Bien qu'il ne partagea pas le point de vue de ses nouvelles connaissances, il tira bénéfice des compétences qu'ils avaient à lui offrir. La puissance qu'il expérimenta avec une arme dans la main lui retira une partie du joug matriarcal.

    Quelques mois avant la guerre, Gabriel entama une croisade contre la méchanceté et la colère de sa mère, et contre l'indifférence de son père. Tatouages, impudence et loi du Talion effrayèrent dans un premier temps les parents. Pour Gabriel, il ne faisait aucun doute qu'il allait très bientôt devoir se débrouiller par ses propres moyens et ne plus compter sur ses géniteurs. La guerre fut un excellent catalyseur d'évènements.


  • Votre réaction à la GM :


    La Guerre fut, pour Gabriel comme pour le reste du monde, une totale surprise tant elle fut rapide et violente. Cependant, Gabriel ne pris pas réellement garde à tous ce qu'il se passait, pour lui la Guerre était seulement un prétexte pour fuir. Le soulagement de partir fut remplacé par l'horreur de ce qu'il se passait. A 19 ans, Gabriel prit la voiture de sa mère et partit pour la côte Est, sans réel but. Les bombardements le laissèrent sans voix, mais qu'importe : il n'avait pas à parler maintenant qu'il était seul.

    Tout le monde prenait la voiture, dans les deux sens : ceux qui venait de la côte Ouest pensaient que le centre était plus sûr, les plus courageux voulaient partir en Amérique Latine. Ceux du Texas voyant que les frontières étaient bloquées voulaient tenter leur chance sur la côte, et -fol espoir- prendre un bateau pour ailleurs. Arrivé à Las Cruces, la Guerre n'était pas encore finie, mais il dut écourter le périple en voiture : trop voyant, trop gourmand en carburant, trop bruyant, trop facilement repérable... La guerre rendait tout plus difficile. Il se terra alors dans une cahute abandonnée en attendant que l'orage passe, cet orage constituait de feu et d'acier.

    La peur l'étreignait, mais c'était la peur de l'instant présent. Pour le futur, il n'éprouvait qu'une étrange satisfaction et une impatience fébrile.


  • Comment avez-vous survécu depuis ?




    L'année 2020 fut pour Gabriel une année de marche à pied et de stupeur. Lorsqu'il arriva à Phoenix, Riverside, ou Fresno, ce ne fut que pour y découvrir des décombres.

    Après avoir fait plusieurs détours pour récupérer des armes, Gabriel compris deux choses. La première était qu'il fallait être plus rusé que les machines. La seconde, que les villes n'étaient plus sûre : les secteurs urbains étaient quadrillés par les Hell Fleas en ce début post guerre.
    Il partit donc pour la montagne, tantôt et voiture ( jamais longtemps), tantôt suivant un groupe de survivants (jamais longtemps), tantôt seul, avec pour seules pensées son désir de fuir son passé (souvent).

    Arrivé en Idaho, il choisit une cabane de garde forestier, non loin de Salmon. Il resta là 4 ans sans voir d'autres personnes que quelques survivants – 15 en tout et pour tout, qui lui vendirent des armes et des grenades en échanges de vivres. Une poignée d'affrontements avec les machines (toujours des éclaireurs) lui apprirent comment s'en débarrasser. En août 2024, Gabriel a 24 ans et vit arriver une pléiade de Cargo Vultures. Durant la quinzaine de jours suivant, il dut affronter plus de Hell Fleas que les 4 dernières années : il était temps de lever le camps.

    Ce fut le commencement de la traversée du désert : Wyoming, Colorado, Kansas, Iowa, Illinois pour finir dans l'Indiana et ce jour funeste où il perdit son oeil.
    Il n'avait jamais autant voyagé de sa vie, ni vue autant de ville fantôme. Souvent de petits villages poussiéreux à l'abandon, mais tous les mois au moins il rencontrait des survivants sans jamais vouloir s'accrocher à eux. Son voyage était sans but, c'était l'Est, c'était la mer...il ne savais pas, et cela ne le dérangeait pas.
    Il vivait en ermite, mais toujours soulagé de se rendre compte qu'il n'était pas tout seul sur cette planète. Lorsqu'il perdit son oeil, il accepta de quitter ce mode de vie et de faire route avec les nomades jusqu'au fameux docteur Osborn. Non sans regret, il eut un but.

    Ce but fut atteint au printemps 2027.
    La base de Niagara Falls.
    La suite fut un long apprentissage . Un apprentissage avec son nouvel oeil, un apprentissage avec les Black Snakes, un apprentissage avec les gens, avec la sédentarisation, avec l'amitié en la personne d'Ethan Sanders, avec l'humour...

    Aujourd'hui, cet apprentissage n'est toujours pas fini, et Gabriel a encore un long trajet à parcourir avant de rattraper tout le temps perdu.


V - Annotations Personnelles
  • Personnalité de l'avatar : Milo Ventimiglia
  • Code du règlement : OK Josie

  • Pseudo/Prénom : Comment devons-nous vous appeler ? Gaby
  • Age et Sexe : 22 ans / mâle

  • Comment avez-vous connu le forum ? Via les partenaires de Velvet Valley.
  • Présence par semaine : Tous les jours.
  • Un commentaire ? Nope.
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Josie Baldwin
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Gabriel Travis Vide
MessageSujet: Re: Gabriel Travis   Gabriel Travis Icon_minitimeLun 4 Jan - 4:28

Bonsoir à toi et bienvenu sur le forum! Very Happy

Magnifique fiche! J'adore vraiment beaucoup!

Je ne vois à modifier. Il te pré-valide donc ^^
Il ne reste plus qu'à attendre notre admin adoré Meredith pour qu'elle te valide complètement ^^

En temps normal, je te dirais que tu as le droit d'aller flooder en attendant que Meredith passe sur le forum, mais comme on a modifié les permissions dernièrement (suite à une attaque d'individus ¬_¬), je ne sais pas si tu peux le faire. Tu peux essayer Razz
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Gabriel Travis

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Gabriel Travis Vide
MessageSujet: Re: Gabriel Travis   Gabriel Travis Icon_minitimeLun 4 Jan - 4:33

Merci! cheers

Je n'étais vraiment pas sûr concernant pleins de petits détails, mais bon... si tu dit que ça va!
Je vais attendre la validation de Meredith : ce serait vraiment irresponsable de flooder à une heure pareille juste avant la rentrée Sifflote
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Meredith Mayer
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MessageSujet: Re: Gabriel Travis   Gabriel Travis Icon_minitimeLun 4 Jan - 21:10

Bonsoir et bienvenue ! Very Happy

Très jolie fiche. Tu n'as pas tout à fait suivi la description de l'histoire du PV, mais ce n'est pas très important étant donné que tous les points principaux y sont. Il faudra simplement que tu inventes une explication à la répulsion qu'a Gabriel pour les psychologues. ^^ Je ne vois rien à te faire rectifier, je te valide donc avec grand plaisir !

Amuse-toi bien parmi nous, je suis sûre que tu trouveras quelques camarades de RP sympathiques. Razz Si tu as des questions (vis à vis des détails qui te gênaient) n'hésite pas !
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MessageSujet: Re: Gabriel Travis   Gabriel Travis Icon_minitimeLun 4 Jan - 22:29

Merci pour la validation!

Argh, je savais que je zappais un truc...Je me suis laissé emporté et j'ai omis l'épisode avec les psy. Bon, je rattraperais ça dans un rp, donc.

Les détails qui me préoccupaient étaient vraiment anecdotiques, du style "est ce cohérent que Gabriel ait rencontré si peu de survivants durant ces dix années?" Comme il passe un long moment dans l'Idaho qui est un état très mormon, je m'imaginais que ces derniers avaient mieux survécu à la guerre.... je ne sais pas pourquoi, mais je suppose qu'ils sont plus résistants. Bref. Suspect

Je vais de ce pas faire un tour de piste! Héhé
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Isaac Zylstra
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MessageSujet: Re: Gabriel Travis   Gabriel Travis Icon_minitimeMar 5 Jan - 2:07

Welcome! ^^
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Michael Smith

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MessageSujet: Re: Gabriel Travis   Gabriel Travis Icon_minitimeMar 5 Jan - 2:52

Bienvenue, et très belle fiche en passant Wink
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Meredith Mayer
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MessageSujet: Re: Gabriel Travis   Gabriel Travis Icon_minitimeMar 5 Jan - 17:17

Citation :
Les détails qui me préoccupaient étaient vraiment anecdotiques, du style "est ce cohérent que Gabriel ait rencontré si peu de survivants durant ces dix années?" Comme il passe un long moment dans l'Idaho qui est un état très mormon, je m'imaginais que ces derniers avaient mieux survécu à la guerre.... je ne sais pas pourquoi, mais je suppose qu'ils sont plus résistants. Bref.

Le problème avec les Mormons, c'est que d'après ce que j'en sais ils vivent dans des endroits assez connus puisqu'ils sont regroupés entre eux, ainsi ils sont très faciles à repérer. De plus, je les imagine personnellement assez placides et imperturbables, pensant que cette catastrophe technologique ne les concerne pas. J'aurais donc plutôt tendance à dire qu'à de rares exceptions (familles isolées), ils ont été facilement capturés ou tués.

Il y a des résistants, mais ils sont éparpillés, par petits groupes ou familles. Les bases telle que celle de Niagara Falls sont les rares endroits où on peut trouver plus d'une dizaine de résistants vivant constamment ensemble. Wink
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MessageSujet: Re: Gabriel Travis   Gabriel Travis Icon_minitimeVen 8 Jan - 2:06

Merci Isaac et Michael, j'espère que nous aurons l'occasion de se croiser dans les couloirs de la base ^^

Ah oui, pour les mormons j'avais pris le problème à l'envers, en pensant que le manque de technologie les avaient écartés de la bataille et donc des rafles (je fais un amalgame avec Dollhouse, désolé).

Bref, les mormons travaillent dans les camps. Noté. ^^"
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Ana-Maria Lucarez

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Gabriel Travis Vide
MessageSujet: Re: Gabriel Travis   Gabriel Travis Icon_minitimeVen 8 Jan - 2:20

Bienvenue sur Human Resistance. Smile

En effet, très sympa cette fiche. Bon jeu. Wink
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MessageSujet: Re: Gabriel Travis   Gabriel Travis Icon_minitime

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