Ils sont mignon non ? [pv Michael]

Invité

Quand le réveil sonna, Joy ne l'entendit même pas : elle resta dans son lit, dans un sommeil si profond qu'il aurait fallut une fanfare pour la réveiller. Effectivement, la veille au soir, elle c'était couchée très tard. Elle avait mangé rapidement, puis était passée voir quelques amis dans leurs chambres. Elle avait discuté un moment avec pas mal de gens, qu'elle les connaisse ou pas, puis était allée dans sa chambre, vers une heures du matin, pensant qu'elle allait s'endormir. Mais elle n'en avait rien fait. Elle avait tourné dans son lit pendant une bonne heure, et c'était enfin avoué vaincue par l'ennuie aux alentours de deux heures trente. Elle était ressortie de sa chambre pour aller aux cuisines, qui étaient désertes. Elle c'était dirigée vers un placard plein et avait prit un biscuit et un somnifère. Il était rare qu'elle est recours à se genre de choses, mais ses temps si, elle se sentait particulièrement stressée, et elle en avait parfois besoin pour dormir. Elle avait alors manger son biscuit du bout des dents tandis qu'elle préparait la boisson miracle. Elle était retournée dans sa chambre et avait but la boisson d'une traite.

Seulement quatre heures plus tard, Joy était censée se lever. Mais l'effet du somnifère était toujours un peu présent, et son sommeil était lourd. Il était inévitable qu'elle serait en retard, et la seule question qu'il restait à poser était : qui viendrait la réveiller quand on en aurait marre de l'attendre ? D'habitude, son horloge biologique la réveillait toujours à l'heure, et elle n'avait besoin de rien d'autre, aujourd'hui, même d'autres moyens ne la réveillaient pas.
Mais, tout à coup, alors que le réveil sonnait toujours, un livre callé sur le bord d'une étagère tomba, sur la tête de Joy, qui se réveilla en sursaut. Elle comprit de suite qu'elle ne c'était pas réveillée, et se précipita dans sa douche. Quand elle eut finit, elle avala le reste du biscuit qui était resté sur la table de nuit, se lava les dents et se peigna, puis ouvrit son placard et prit la première tenue qui lui passa sous la main : c'était une robe beige avec des motifs noirs, qui lui arrivait aux genous. Elle enfila des nus pieds beiges et sortis en courant de sa chambre. Elle arriva à la gardeie à huit heures cinq, et quelques parents attendaient déjà avec leurs enfants. Joy leur fit un grand sourrire en leur disant bonjour et fit la bise à quelques uns.
Elle ouvrit la garderie et fit entrer les enfants en usant de la complicité qui la liait à eux.

Elle installa diverses activités et commença à occuper les plus jeunes avec des jeux. Quand quelques adolescents arrivèrent, ils commencèrent à discuter avec Joy avant de la laisser aux petits et partir dans un coin. Joy s'occupa des enfants dans la bonne humeur toute la matinée, puis elle emmena manger ceux qui le désiraient. Quandils eurent fini, ils retournèrent à la garderie. Alors que Joy jouait avec un groupe, quelqu'un entra dans la pièce. Avec un sourrire aux lèvres, elle se leva pour voir qui c'était.

[Désolée, j'ai fais court, mais j'avais pas beaucoup de temps et d'inspi xD]

Une autre journée sans voir le bleu du ciel.

La vie de troglodyte avait de nombreuses répercutions sur les gens de la base. Le teint des survivants était plus pâle à cause du manque de lumière naturelle, on voyait plus souvent des personnes déambuler dans les couloirs à la recherche de quelque chose à faire ou bien à stresser dans une pièce vide sur le but de leur vie et autres questions philosophique.

La population de la base devenait aussi hypocondriaque. Le stress et la solitude leur faisait voir le mal où il n’était pas. On croit avoir telle maladie, ou en avoir développé une nouvelle souche de virus. C’était un peu extrême, mais Michael en avait vu un. Les patients défilaient dans l’infirmerie comme jamais. Le manque de sommeil et l’isolation favorisait les maux de tête et autres douleurs mais, en général, ces maux devaient être traités par un psychologue, non pas par un médecin.

Le docteur Smith laissa une patiente à un collègue pour prendre congé. C’était une grosse journée aujourd’hui, et il était exténué. Il marcha dans les couloirs en direction de sa chambre où il espérait trouver le sommeil ou, si Morphée ne voulait pas de lui, lire un livre. L’homme passa devant la garderie, où il entendit des cris joyeux enfantins. Les jeunes jouaient sous la supervision d’un adulte. Il avait entendu ce matin très tôt que Joy ne s’était pas encore présentée à sa tâche. Il se demanda si quelqu’un l’avait remplacée ou si elle avait enfin prit son poste. Michael décida d’aller voir et, dans la même occasion, dire bonjour aux enfants qu’il voyait de temps en temps, beaucoup plus depuis que les sorties en extérieur étaient interdites.

Il ouvrit la porte et entra. Les enfants jouaient entre eux comme dans les garderies qu’il y avait avant la guerre. Filles et garçons couraient après les autres, jouaient à un jeu de société ou avec des figurines. Comme à son habitude, Joy Decker était là, fidèle au poste. Elle devait s’être levée plus tard ou avoir flânée en chemin. Mais, maintenant, elle s’occupait des bambins.

Elle était accroupie avec un groupe de jeunes en train de jouer. Lorsqu’elle entendu quelqu’un entrer, elle se leva et se retourna. Michael fit un discret signe de la main et un sourire se dessina discrètement sur ses lèvres. Il s’approcha de la gardienne en tâchant de ne pas mettre le pied sur un jouet ou un enfant.

« - On a eu du mal à se lever ce matin, Joy ? »

[Désolé, moi aussi ce fut court =/]