- Human Resistance -
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— d. j. addison : « how do you want to die . »

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— d. j. addison : « how do you want to die . » Vide
MessageSujet: — d. j. addison : « how do you want to die . »   — d. j. addison : « how do you want to die . » Icon_minitimeMar 29 Sep - 11:05


— d. j. addison : « how do you want to die . » Sali

Delilah ADDISON

Personnage : Prédéfini - Inventé


I - État Civil
  • Nom : Addison. Un nom des plus communs que vous pouvez trouver en Angleterre comme aux Etats-Unis. Un nom qui passe partout, inaperçu et qui est paradoxalement plutôt craint dans la base de Niagara Falls. La cause ? On s'en fout, vous verrez de vous même.

  • Prénom(s) : On pourrait se demander ce qui est passé par la tête de ses parents lorsqu'ils la nommèrent Delilah. Petite, la moquerie était plus que souvent au rendez-vous quant à cette affublation ridicule mais à présent, qu'est ce qu'on bien avoir à foutre d'un prénom lorsque l'on ne nous nomme que par notre nom ? D'une importance moindre mais puisqu'il s'agit de son identité complète, la jeune femme possède également un autre prénom qui est Jordan, typique de son côté masculin.

  • Date de naissance - Âge : Nous éviterons par ici les trente printemps bien heureux que Delilah aurait pu fêter en novembre. Si certes elle a bien trente ans son âge ne lui fait cure et puisqu'elle ne pipe pas un mot sauf si c'est bien sûr pour vous mettre mal à l'aise ou mieux, pour que vous la détestiez, vous comprendrez donc que son âge n'intervient pas dans ses rares échanges de paroles.

  • Lieu de naissance - Nationalité : Delilah Jordan Addison est née dans ce que l'on peut qualifier d'une petite ville minable. Condamnée dès son plus jeune à pourrir au fin fond de l'Arkensas à plus de trois heures de la 'major city' étant Little Rock on peut dire que la IIIème guerre mondiale fut pour elle une véritable aubaine. Comme vous avez pu deviner, Delilah est américaine pure souche.

  • Membre de : Quel groupe voulez-vous qu'elle intègre ? S'occuper de la base ? Quelle blague ! Delilah ne tient pas en place, incapable de s'occuper de la moindre personne omis elle même il est évident que sa place n'est autre que chez les Red Tiger. Véritable kamikaze elle est d'ailleurs surnommée ainsi à juste titre puisqu'elle est volontaire pour les missions les plus dangereuses.

  • Compétences : Delilah excelle dans l'utilisation de toutes les armes à feux possibles et inimaginables. Elle se débrouille également plus que bien au corps à corps mais ne peut rivaliser contre les cyborgs, bien trop rapides et puissants pour elle. Attention cependant à ne pas trop l'embêter si vous ne possédez pas de prothèses, non seulement elle (s')énerve vite, mais elle (s')énerve fort et peut parfaitement rivaliser avec un homme, remplaçant la force brute par l'agilité et l'adresse. Aïkijo, judu, jenjustu Delilah a eu le temps de s'entraîner depuis son arrivée à la base car ce n'est qu'à partir du moment où elle a été jugée saine d'esprit par le Conseil qu'elle a pu se défouler aux yeux des autres. En attendant elle s'entraînait là ou il y avait de la place, évacuant par ce moyen la rage qui bouillonnait en elle.

  • Rôle : Par son côté de véritable tête brûlée la jeune femme excelle dans les diversions. Canarder des machines afin de réduire leur nombre c'est son grand joujou et cela s'avère plutôt utile lorsque les Black Snakes ont besoin de timbrés afin de réussir leur mission.


II - Bilan Psychologique
  • Description Psychologique : Nous voici dans la partie la plus intéressante mais également la plus chaotique de cette chère Delilah. Résignée à vivre une vie dont elle avait en horreur la jeune Addison, seule fille d'une fratrie de quatre dont elle devait s'occuper puisqu'aînée de surcroît, entama bien vite une dépression qui ne fut soignée que très récemment. Jamais elle ne connu le bonheur et à depuis trop longtemps abandonné l'idée que cet idéalisme était fait pour elle. Extrêmement instable psychologiquement suite aux viols répétitifs de son père son état ne s'arrangea en rien lorsqu'elle lui ôta la vie à l'âge de 16 ans. Immédiatement déférée dans un hôpital psychiatrique l'état de Delilah ne connu pas de changement puisque suite à de fréquentes crise de violence, elle fut mise sous médicaments. Au lieu d'établir un traitement et de lui procurer un soutient psychologique Delilah fut abandonnée à son triste sort, complètement groogy la plupart du temps. A défaut de lui démolir les neurones cette alternative de facilité de la part des médecins lui permis de ne pas voir le temps passer et de mieux supporter le fait d'être quasi continuellement isolée. Lorsque la guerre se déclencha Delilah pu s'échapper et après une errance de deux années entières, croisa le chemin d'Iris Hendricks. Dévastée aussi physiquement que psychologiquement Iris pris soin de faire remonter la pente à la jeune femme, pente qu'elle avait dégringolé des années auparavant. Moyennement du temps et beaucoup de patience de la part de l'infirmière Delilah réussi à se hisser à un niveau psychique acceptable et fut d'ailleurs jugée assez saine d'esprit pour être enrôlée dans la résistance. Les dommages de son enfance restent irréversibles sur sa façon d'être cependant Delilah tente de faire quelques efforts et de se montrer moins désobligeante avec les autres sur demande d'Iris.

  • Goûts, rêves et passions : Delilah ne connaît rien de la vie mis à part la violence de la guerre. Son enfance et son adolescence lui ayant été ravis et n'ayant donc pas pu accéder aux études qu'elle aurait brillamment pu terminer, la jeune femme est dans l'incapacité totale de dire ce qu'elle pourrait bien faire une fois cette guerre terminée puisqu'à ce qu'elle entend régulièrement, c'est l'un des souhaits les plus ardent des résistants. Elle ne peut ignorer l'horreur de la guerre, ses ravages et la souffrance qu'elle diffuse mais est-elle seulement capable de faire autre chose que se battre ? Delilah n'aime pas songer à cela puisqu'elle vit au jour le jour, ne pouvant se projeter au lendemain. Elle sait par expérience que les choses peuvent du tout en tout en l'espace de 30 seconde. Pourquoi diable se projeter au lendemain ?

    La vie ne vaut rien mais rien ne vaut la vie. Longtemps la jeune femme tenta de comprendre cette phrase et fini par y trouver un sens lorsqu'elle entra dans la résistance. Sa vocation, sa seule vocation, était simplement de se battre. Destinée à faire cela l'adrénaline constante, le danger et la violence sont le quotidien de Delilah qui, dès lors qu'elle les ressent, se sent de nouveau en vie. Après s'être si longtemps pensé morte, une enveloppe charnelle mouvante dans une coquille vide, la jeune femme peu enfin se sentir comme elle aurait toujours dû l'être : vivante. Par son caractère impossible et ses goûts morbides Delilah est rejetée depuis son premier jour à la base de Niagara Falls. Qu'importe, l'amour des autres n'entrant pas dans ses règles de vie la résistante fait fit de leur dédain (qui n'est que le parfait miroir de ce qu'elle projette) et continue à vivre comme elle l'entend.

    Outre le sang et la violence qui sont quand même ses principales lignes de conduite en compagnie du sarcasme et de l'ironie Delilah reste une femme qui, en tant qu'humain, ne rechigne pas quant à quelques allers-retours sous la couette de temps à autre. Malgré sa réputation de garce sans cœur sa silhouette ne rend pas insensible et lorsqu'elle le veut, elle sait parfaitement jouer dessus. Lorsqu'elle n'est pas en mission et s'ennuie comme un rat mort à la base la jeune femme se passionne pour la moquerie, les insultes et les bagarres. Sa cible favorite du moment ? La dernière en date fut Ethan Sanders, petit bleu chez les Red Tigers dont elle prenait un malin à lui raconter les détails les plus sordides d'une mort qui pourrait s'avérer proche. Mission réussie pour Delilah qui, ne souhaitant pas s'arrêter aussi vite dans sa méchanceté, vient tout juste de changer de souffre douleur ; Ivy Valencia. Groupée chez les Black Snakes avec qui les Red Tigers ont régulièrement des missions de sauvetage Delilah se plaît grandement à la faire sortir de ses gonds en l'insultant par le biais de son petit ami, Andrew Hyde, coéquipier de la blonde psychopathe. On s'amuse comme on peut n'est ce pas ?

  • Peurs, phobies et cauchemars : Bien peu de choses gênent Delilah au point de la rendre malade et, à proprement parler, il n'en n'existe qu'une seule et unique. Comme beaucoup de phobie la sienne remonte à son enfance ou plutôt sa pré-adolescence, lorsque son père commença à abuser d'elle. Ses étreintes forcées, l'odeur rance de transpiration mélangée à l'alcool et l'after-shave, l'infériorité par l'immobilisation... Si une personne, quelle quelle soit remplissait l'une des trois choses mentionnées ci-dessus aucun doute que Delilah serait prise d'une panique des plus importantes ce qui pourrait suivre d'une sévère agressivité. Se sentant menacée elle se protégerait simplement, au détail près qu'elle serait capable de tuer la personne si elle à l'ascendant.

    En ce qui concerne le reste rien en l'effraie à ce point. Certains disent d'elle qu'elle est psychopathe, d'autres qu'on lui a arraché le cœur à la naissance ou qu'elle serait née sans. Quoiqu'il en soit ces rumeurs amusantes résultent d'une chose : Delilah est capable de tout. Ni la douleur ni la peur de la mort ne lui fait peur si bien qu'ou résultent ses véritables limites ? Et si c'était simplement nul part ?


III - Bilan Physique
  • Description Physique : Grande perche de près d'un mètre quatre-vingt Delilah est une très belle jeune femme quoiqu'en disent les autres. D'un blond naturel très prononcé ses cheveux tombent en cascade sur des épaules aussi fines et musclées que le reste de son corps. Très sportive c'est un élément qui, à première vue peut échapper mais qui ne manque pas de surprendre lorsqu'elle combat. Ses yeux d'un bleu profond et ses dents blanches contrastent avec une peau légèrement hâlée par le soleil. Un nez fin et droit orne son visage ainsi que s'y ajoute une bouche taquine aux lèvres parfaitement dessinées.

    Si son caractère n'étais pas ainsi, Delilah ferait fureur c'est chose certaine cependant elle ne chasse pas les hommes et n'attire donc pas les regards sur elle. A véritablement parler ce que les autres pensent d'elle, physiquement comme moralement, ne l'effleure pas d'un poil. Beauté glaciale la jeune femme n'a jamais plus autorisé d'aiguilles à venir fouler son corps depuis sa sortie de l'hôpital psychiatrique, sauf lorsque c'est Iris qui en prend la charge. Les tatouages et piercings ne sont donc pas les bienvenus sur son corps au même titre que toute chirurgie plastique. Sans qu'elle n'en ai nullement besoin elle n'a de toute manière pas eu la moindre occasion d'y avoir recours puisque enfermée la majeure partie de sa vie.

    En ce qui concerne le mode vestimentaire Delilah n'appartenant pas à une classe sociale des plus aisées s'est toujours vue porter des fripes rabourgries. Elle n'a également cure de cela et ne souhaite qu'une chose : être à l'aise dans les vêtements qu'elle porte pour qu'elle puisse exercer son job de manière parfaite. Bien qu'elle se fiche en règle général des vêtements il lui arrive de se mettre en valeur (avec les moyens du bord, c'est pas comme si les Galeries Layettes ou les Hamptons étaient encore sur pied...) lorsqu'elle doit se rendre à une réception/réunion importante où attends un rendez-vous galant. Et bien quoi, c'est une femme avant tout non ?

  • Bilan de santé : Malgré un état psychologique quelque peu instable l'état physique de Delilah est absolument excellent. Parfaits réflexes, acuité visuelle et auditive impeccable et aucune allergie de surcroit. Petite, la jeune fille ne tombait que très rarement malade et ce malgré les mauvais traitements dont elle était victime ce qui lui assure une très bonne santé.

    Certes depuis le début de son existence les blessures ont été au rendez-vous. Si on met de côté qu'elle a dû se faire casser environ tous les os du corps qu'il y a casser par son père, Delilah possède une cicatrice faisant toute la largeur de la cuisse qui se situe en haut de sa jambe gauche, juste en dessous de la fesse. Mauvais souvenir de quand son père rentrait saoul... Malgré quelques efforts pour Iris Delilah ne peut s'empêcher de revenir sans quelque chose de froissé, cassé ou même fracturé lors des opérations des Red Tigers. Ses diversions sont si périlleuses qu'il lui arrive fréquemment lors de celles ci de devoir se jeter d'une hauteur plus ou moins grande ou de se jeter sur le côté, roulant ainsi sur des objets métalliques entaillant son corps. A croire qu'en plus elle serait sado ? Depuis ses débuts dans le groupe de Mallory Delilah s'est déjà fracturé deux fois le poignet droit et s'est également cassé trois côtes en six mois de temps. Personne ne peut lui reprocher de ne pas prendre son travail à coeur.



Dernière édition par Delilah Addison* le Mar 29 Sep - 17:52, édité 7 fois
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— d. j. addison : « how do you want to die . » Vide
MessageSujet: Re: — d. j. addison : « how do you want to die . »   — d. j. addison : « how do you want to die . » Icon_minitimeMar 29 Sep - 11:06


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IV - Biographie

  • Votre vie avant la 3e GM :
      Il était une fois, au fin fond des USA

    Mister Henri Addison, parfait salaud en son genre, et Miss Millie Dilmer, petite idiote trop naïve s'unirent un frais matin d'avril sous l'œil de leurs parents et témoins uniquement dans la modeste chapelle de Meelwood, petite bourgade perdue dans l'immensité de l'Arkensas. Fils du gérant du garage du coin et fille d'un fermier de la région leur idylle ne dura réellement que peu de temps. C'est bien connu, dès que le mariage se contracte les ennuis commencent. Millie n'avait pas idée à quel point ce serait le cas. Le couple était marié depuis à peine trois mois lorsque la jeune Addison annonça à son mari qu'elle était enceinte. Commença alors la longue descente aux Enfers. Le sexe étant mis à part dans les derniers mois de grossesse Henri commença à partir voire ailleurs. Cela brisa le cœur de sa femme qui l'apprit par une amie lorsque son premier enfant, sa fille, vint au monde.

    Nommée Delilah par sa mère en souvenir de sa propre grand-mère morte lorsqu'elle était encore jeune mais qui avait marqué sa mémoire, Millie reçu les premiers coups de son mari en rentrant chez elle. En effet Henri n'aimait pas le prénom mais étant trop tard pour le changer, il évacuant sa rage sur sa femme qui n'osa pas sortir de chez elle deux semaines durant. Prétextant qu'elle devait s'occuper de sa fille Delilah était à peine âgée de deux mois lorsque sa mère retomba enceinte. La grossesse se passant comme la première Millie perdu peu à peu les notions de la vie quotidienne. En parfaite petite femme elle obéissait aveuglément à son mari mais commença à perdre lentement la boule. Si elle s'occupait parfaitement de ses enfants elle semblait cependant se détacher de plus en plus de la réalité. Dépressive, la naissance de Jake, son premier fils et second enfant suivi de la naissance de Matt et Dillon, ses deux derniers enfants et jumeaux de surcroît n'arrangèrent rien à sa santé mentale.


      Une enfance passive

    Scolarisée car ses parents étaient dans l'obligation de le faire la petite Delilah suivi sa primaire et son élémentaire dans sa ville. Très souvent la proie de moqueries quant à son prénom comme venu d'un autre temps la jeune fille vécut mal dans sa peau et nourrit bien vite d'espoirs de vengeance. Lorsqu'elle eu 7 ans elle n'eût plus de temps à consacrer à ses rares amis puisque dès lors qu'elle terminait l'école elle devait aider sa mère à s'occuper de ses trois petits frère turbulents. Lorsqu'elle pestait contre cette tâche elle récoltait une simple paire de baffes qui, sans la motiver outre mesure, lui faisait faire la tâche indiquée sans rechigner. C'est à l'âge de 10 ans qu'elle comprit que son père battait régulièrement sa mère. Les éclats de voix lorsqu'elle était censée dormir, les pleurs étouffés, les raclements de chaises, les bruits sourds, tout prenait son sens. Déjà qu'elle ne portait pas un amour débordant à son père qui, rentrant souvent affreusement saoul, optait pour un des deux comportements suivant ; ou bien une vilaine claque car elle se trouvait dans son chemin ou bien il la faisait monter sur ses genoux et s'attardait sur des parties de son corps où Delilah croyait pourtant avoir l'absolue autorité. Ne pouvant se soustraire à cela sous peine de châtiment corporel imminent la jeune fille se laissait faire, presque indifférente.


      La goutte d'eau qui fait déborder le vase

    Les jours continuaient de défiler, impassibles, identiques, tout aussi inintéressants. A ses 14 ans Deilah fut brusquement retirée de l'enseignement, son père estimant qu'elle en savait assez. Débuta alors une sorte d'apprentissage en compagnie de sa mère ; la femme idéale. La jeune fille résuma bien vite les principes fondamentaux étant ; obéi et tais-toi. Horrifiée à l'idée de les appliquer toute sa vie durant Delilah songea plusieurs à la fugue afin de se soustraire à cette vie horrible et désespérante qu'elle menait. Lorsqu'elle prit enfin son courage à deux mains afin de le faire elle prépara longuement sa fuite. Mettre des provisions de côté sans que ses parents ne s'en s'aperçoivent s'avéra plus facile que prévu mais Delilah tint bon et, au bout d'un mois, fut fin prête à son périple. Quelques affaires roulées en boule, ses provisions bourrées dans toutes les poches possibles de l'immense sac-à-dos qu'elle avait piqué à son père ainsi que plusieurs gourdes d'eau.

    Attendant patiemment que sa famille aille se coucher la jeune file pu entendre les bruits caractéristiques d'une dispute et se mordit les lèvres lorsqu'elle comprit que son père frappait une fois de plus sa mère. Partant se saouler au bar du coin il laissa la maison vide et Delilah se fraya un chemin sans faire le moindre bruit jusqu'à la porte d'entrée. Alors qu'elle venait seulement de passer le perron des amis de son père arrivèrent en voiture ce qui l'obligea à se cacher dans un tas de bois proche. Elle crû défaillir lorsqu'ils s'arrêtèrent juste à côté d'elle mais bien camouflée par l'ombre il ne l'aperçurent pas d'un seul maudit centimètre. L'attente sembla s'éterniser et la jeune fille ne comprit jamais ce qu'ils attendaient. Qu'importe, ils finirent (enfin) par partir. Secouant ses jambes tremblantes de fourmillements elle couru une certaine distance tout en se camouflant lorsqu'elle trébucha sur quelque chose qui, tout comme elle, était recouvert par les ombres.

    Une odeur infâmement connue s'éleva du corps et Delilah comprit qu'elle venait de trébucher sur le pied de son père. Au lieu de se rendre au bar comme elle le pensait il sortait simplement d'un hôtel miteux, un de ceux ou vous louez une chambre afin d'accueillir une prostituée. Il sentait l'alcool à plein nez mais n'était sûrement pas assez imbibé pour ne pas reconnaître sa propre fille malgré la faible luminosité. Henri entra dans une rage noire et rua de coups sa fille à même le sol. Le retour à la maison fut exécrable. Empoignée par les cheveux il lui assénai un coup à chaque cri poussé et la force aidant Delilah opta vite pour l'option silence.

    Lorsqu'ils arrivèrent Henri fit voler la porte dans un fracas épouvantable qui avait pour effet d'intimider sa famille et de leur passer un certain message du genre mauvaise humeur venez pas vous frottez à moi. Il grimpa au deuxième étage tout en traînant à moitié sa fille et la projeta sur son lit enfantin. Lui arrachant les vêtements qu'elle portait il la viola sans la moindre retenue et, une fois chose faite, cracha sur le corps de son enfant. Seule, sale, humiliée et ravagée Delilah ne dormit pas de la nuit, bouleversée par ce qu'elle venait de vivre. Malheureusement pour elle ce viol n'était que le premier d'une longue série. Plus les mois passaient, plus la jeune fille se sentait mourir. Son corps vivait toujours mais son âme l'avait désertée. Elle opérait tout machinalement, les yeux vides, sans piper mot ... jusqu'au jour fatidique où son seuil de tolérance à l'horreur fut dépassé, deux ans plus tard.

    Il n'était pas loin de minuit lorsque Delilah, à peine couchée, entendit les pas caractéristiques de son père grimper l'escalier menant à sa chambre. Contrairement aux premières fois aucune larme ne vint s'écraser contre sa bouche. Elle se plia en boule dans son lit et resserra son emprise sur la couette, espérant que son père reparte comme il était venu. Bien qu'elle se l'interdise, elle repensa aux autres fois. A la honte éprouvée par cette humiliation, aux coups, aux insultes, aux crachats. Deux ans de viols consécutifs, deux ans de parfaite souffrance auxquels elle s'était pliée sans rechigner. Deux ans d'horreur. A la place de l'indifférence coutumière un nouveau sentiment pointa le bout de son nez. Delilah l'avait ressenti maintes fois durant son enfance mais il semblait l'avoir déserté. Alors qu'elle fermait le poing sa porte s'ouvrit dans un grincement sinistre. Son père s'avança, impassible, savourant d'avance ce qu'il allait faire. La mâchoire de Delilah se serra et ses mains commencèrent à trembler. Une rage sourde l'avait envahie.

    Une colère qu'elle n'avait pas éprouvé depuis trop longtemps ressortait à ce jour, multipliée par des dizaines de petits accrocs de la vie quotidienne. Pourquoi donner la vie si c'est pour la pourrir à ce point ? L'homme était-il si mauvais ou bien son père dépassait il les limites de la moyenne ? Il arracha d'un coup sec la couverture de sa fille et Delilah pu entendre le cliquetis de sa ceinture se défaire. Elle avait envie d'hurler, de le marteler de coups mais quelle chance avait-elle face à un homme d'un mètre quatre-vingt pesant deux voir trois fois son propre poids ? Plus terrorisée que jamais elle se recroquevilla un peu plus tout en essayant de canaliser sa rage inutile. Henri posa un genoux sur son lit et une nouvelle impulsion de peur fit Delilah se resserrer. Lui attrapant le poignet sans trop de ménagement il la secoua jusqu'à ce qu'elle obtempère.

    Alors qu'il allait recommencer une nouvelle fois son triste manège Delilah fut prise d'un soudain réflexe presque involontaire. Au lieu d'étendre ses jambes elle les resserra de façon à monter les genoux et percuta de plein fouet ce qui constituait la principale crainte de la jeune fille pour le moment. Secoué d'un spasme immédiat de douleur Henri se laissa tomber à terre, expulsant un râle rauque et incapable d'esquisser le moindre mouvement. En un éclair Delilah su qu'elle n'aurait plus jamais de pareille occasion et osa à peine imaginer la correction titanesque qui l'attendait si elle ne faisait rien. Laissant son père gisant à terre elle se précipita sur ce qui lui servait d'atelier de couture et empoigna les ciseaux que sa mère lui avait offert une année auparavant. Henri se relevait déjà avec peine et avançait furibond vers sa fille, prêt à la ruer de coups jusqu'à ce que mort s'ensuive si cela pouvait le soulager de la terrible douleur qu'il éprouvait. Armée et à cette vue Delilah prit son courage à deux mains.

    Revigorée d'un peu de force car attisée par la haine, son sang sembla se cristalliser en fureur liquide. Chaque veine la transportant, chacun de ses organes semblait en être largement arrosé et en l'espace d'une seconde Delilah se trouva dans la même rage que son géniteur. Les raison différaient mais le sentiment restait le même. Alors qu'Henri abattait son poing sur sa fille celle ci se jeta à terre et lui enfonça à quatre reprises les ciseaux dans le mollet. Poussant un hurlement il s'effondra à terre. Se relevant rapidement Delilah opéra le premier geste qui décida de son destin. Ouvrant les ciseaux de manière à n'utiliser qu'une seule lame elle se faufila derrière son père qui tentait tant bien que mal de se relever et, dans un parfait geste, passa l'une des lame sur le versant de la gorge d'Henri. Un gargouillement immonde résulta de l'action et le sang gicla à gros bouillons. Le son de la victoire résonnait comme une douce mélodie aux oreilles de Delilah qui, abasourdie par ce qu'elle venait de commettre, se laissa tomber à terre, gisant dans le sang de son père.


      L'isolement

    Découverte par sa mère le lendemain matin Millie pris le temps de déposer le premier baiser de sa vie sur la joue de sa fille avant de descendre au téléphone d'en bas dans un silence quasi religieux. En état de choc complet Delilah n'avait plus aucune notion du temps. Enfermée quelques heures en attendant de passer devant le juge des enfants celui ci déclara, après examens, qu'elle disposait de circonstances atténuantes (sa mère ayant témoigné des accès de violences de son mari mais pas des viols) ce qui résulta d'un aller dans l'hôpital psychiatrique de Little Rock. Lorsque Delilah commença à reprendre ses esprits cela faisait déjà trois jours qu'elle était enfermée dans son nouveau "chez elle". Ne voulant y rester elle s'evertua à sortir et fini par frapper l'une de ses gardiennes ce qui lui valût un premier isolement de 36 heures. Le premier d'une longue liste. Les médicaments ne faisant pas l'effet escompté mais résultant tous les effets secondaires Delilah fut régulièrement prise de crises d'hystérie si bien qu'elle fini sous analgésiques en permanence, enfermée dans une cellule individuelle. La notion du temps lui échappait à nouveau, il glissait simplement sur elle comme le vent le faisait lorsqu'elle pendait encore le linge dans son jardin. Des souvenirs remuaient sans cesse son esprit ralenti par les piqûres et, malgré de longs moments de lucidité lorsqu'elle se calmait, Delilah ne garde presque aucun souvenir de son séjour à' l'hôpital psychiatrique.


  • Votre réaction à la GM :

      Le début d'une vie gâchée

    Les années défilèrent au nombre de six lorsque Delilah retrouva une pseudo liberté. Sans qu'elle ne sache ni comment ni pourquoi l'hôpital fut soudainement abandonné. Heureusement pour elle elle n'était ce jour là pas sous médicaments ce qui facilita sa compréhension quant à la situation. Des bribes de hurlements qu'elle compris ainsi que d'un journal télévisé à moitié non capté résulta une chose : les États-Unis d'Amérique avaient été attaqués. Par quoi ? Des robots ? Interloquée par un tel canular Delilah resta néanmoins deux jours supplémentaires dans l'établissement qui n'était pas si désert avant d'entendre les premiers bombardements. L'hôpital commençai à sérieusement s'effriter lorsqu'elle réussi à étrangler une gardienne possédant les clefs des portes de sorties. Tout étant s'étant verrouillé la jeune femme dû sauter par une fenêtre. Atterrissant par chance dans un tas de buisson elle erra dans la ville à moitié ensevelie sous les décombres cherchant quelque chose d'autre à se mettre sur le dos que sa blouse d'internée. La faim se fit pressante aussi dégota t-elle ce qu'elle pouvait en matière de nourriture. Au détour d'une rue où les carcasses de voitures s'étaient entassées Delilah tomba sur un magasin d'arme à feu. Ne se privant guère elle embarqua dans un sac tout ce qu'elle pouvait ainsi qu'une réserve conséquente de munitions. Les premiers mois furent difficiles, autant par la faim que le manque de médicaments. Depuis six années sous analgésiques le sevrage se trouva extrêmement difficile puisque soudainement privée de tout.

    Finissant par s'y habituer Delilah appris à tirer avec des armes à feux ainsi qu'à confectionner des explosifs rudimentaires. Elle parcourait seule les routes désertes des États-Unis, cherchant un rare point d'eau et de nourriture où faire le plein avant de repartir plus loin. Lorsqu'elle était chanceuse elle croisait le chemin d'une voiture encore en état de marche avec un minimum d'essence dans le réservoir. Malgré l'absence totale d'enseignement à propos des voitures et de leur conduite la jeune femme fini par mettre une idée d'utilisation sur chaque pédale ainsi que sur le manche mouvant à sa droite. Se débrouillant pour bouger elle tombait de temps à autre sur des groupes de machines isolés mais, en sous-nombre conséquent elle les évitait soigneusement. Le jour le plus heureux de sa vie fut sans doute celui où, au beau milieu d'un coffre d'une voiture à demie brûlée elle trouva une arme gigantesque se révélant être un bazooka. Annihilant quatre machines sur cinq en un tir Delilah dû prendre la fuite. Comme si cela ne suffisait pas, la dernière machine, privée de son groupe, se mit à la suivre frénétiquement. A deux kilomètres de sa voiture et de toutes ses munitions la jeune femme reçu une balle dans l'épaule à mi chemin de la course. Alors qu'elle se jetait sur les explosifs qu'elle avait soigneusement préparé une seconde balle vint se loger à la hauteur de sa cuisse. A bout de force elle lança la grenade improvisée avant de s'évanouir. (suite = le recommencement)


  • Comment avez-vous survécu depuis ?

    • Petit résumé

    Dans un état psychique lamentable la jeune femme alors âgée de 22 ans fut confrontée à la dure réalité du monde et de la guerre et ne dû sa survie qu'à sa détermination sans faille. Se lançant corps et âme dans ce qu'elle faisait elle parcouru les États Unis avant de tomber malade de fièvre suite à une blessure infectée qui aurait dû la tuer si son chemin n'avait pas croisé celui d'Iris Hendricks, infirmière en chef à la base résistante de Niagara Falls. Dès le moment où elle s'échappa de l'hôpital où elle avait passé son adolescence, la lutte commença. Enchaînant les dangereuses et mauvaises d&décisions comme voyager de jour et de nuit afin de rencontrer la mort son destin ne semblait pas ainsi. En effet au lieu de trouver la mort quelque part au fin fond des États-Unis c'est elle qui la sema comme les miettes du Petit Pousset.

    Évacuant toute sa fureur et sa hargne lors des affrontements qu'elle eu l'occasion de faire, Delilah apprit seule le maniement des armes. Bien que se disant que sa vie ne valait rien la jeune femme ne baissa jamais les bras pour autant et s'acharna bec et ongles afin de se maintenir en vie, ne voulant que d'une mort guerrière. Puisqu'il était en effet impensable pour elle de mourir profondément encrée dans un lit moisi, de se laisser tuer sans opposer la moindre résistance ou pire, d'attenter à ses jours, il est aisé à comprendre que ces deux années d'errance ne furent pas de tout repos. A vrai dire c'est grâce à ces deux années là qu'elle fut acceptée chez les Red Tiger. Fière et redoutablement efficace Delilah commença tailler les machines sans en éprouver la moindre peur. Parler de courage serait peut-être un peu démesuré puisque les notions telles que le courage, la lâcheté, le raisonnement ne sont pas applicables à sa personne. Tout à fait singulière en son genre la jeune femme supprima tous ceux qui se dressaient sur son chemin perdu, que ce soient machines ou humains.

    Ne restant jamais trop longtemps au même endroit elle se contentait de vols et d'errance. Lorsqu'elle était chanceuse une voiture traînait avec quelques litres d'essence qu'elle employait afin d'avancer bien qu'elle n'ai jamais passer le moindre examen concernant un quelconque permis de conduire. Elle roulait alors comme une folle, happant la route et continuellement sur le quai-vive, attendant impatiemment quelle serait sa prochaine victime. Ne dormant que très peu (estimant qu'elle avait roupillé pour toute sa vie durant son adolescence) Delilah était toujours prête à agir, 24/24h, 7/7j. Jamais elle n'était surprise par quoi que ce soit et donc décontenancée, elle acceptait ce qui arrivait avec une certaine nonchalance, comme lorsqu'on se résigne à rester chez soi un jour de forte pluie. Aussi incroyable que cela puisse paraître Delilah voyait en cette vie comme une sorte de routine. Kilomètres, sang, kilomètres, sang... et ainsi de suite. Bien que cette existence soit parsemée d'embûches elle ne se voyait pas faire autre chose, ne pouvant accepter le fait d'intégrer une des rares maisons encore debout dans les contrées les plus reculées du continent américain.

      Le recommencement

    Incapable de bouger ni même d'effectuer le moindre mouvement Delilah sentait ses forces l'abandonner. La balle à la cuisse n'avait fait qu'effleurer la chair bien qu'en l'entamant légèrement ce qui résulta d'un saignement qui s'arrêta seul. La balle à l'épaule en revanche n'avait en rien effleuré la jeune femme puisque profondément ancrée dans la chair, la blessure s'infecta. Delilah gisait là, à moitié morte et délirante de fièvre lorsque le chemin de résistants croisa son seuil de pierre tombale. Elle aurait d'ailleurs été laissée pour morte si une infirmière n'avait pas pris sur elle le soin de la ramener à la base résistante de Niagara Falls. Là bas la jeune femme y fut soignée ce qui ne fut pas une mince affaire mais cela fini par porter ses fruits. Recouvrant la santé Iris pu ainsi découvrir le caractère de celle qu'elle avait de sauver et autant vous dire qu'elle ne fut pas déçue par l'ampleur de la chose.

    Delilah traînait une dépression depuis 12 ans, complètement névrosée par les médicaments elle semblait ne pas discerner le faux du réel et, en prime, possédait un caractère vraiment à chier. Le pompon pour tout vous dire. Alors que n'importe qui l'aurait laissé tombé Iris commençant à l'aider à remonter la pente. L'affaire ne fut pas mince surtout que Delilah ne se laissa absolument pas faire. Jamais quelqu'un n'avait pris de son temps pour s'occuper d'elle, jamais personne ne lui avait éprouvé de l'intérêt, pourquoi tout cela changeait d'un seul coup ? La nouveauté fut d'autant plus dure à accepter aussi Iris restait la plupart de son temps en compagnie de protégée qui commença, petit à petit, à lui faire confiance. Lors d'une calme soirée à la base, Delilah, encore à l'hôpital, se confia à Iris. Depuis qu'elle en avait besoin, la jeune femme confia son histoire entière à son amie pour ne plus jamais en parler ensuite. Iris garda le secret et Delilah alla soudainement mieux. Bien que son état psychologique s'améliore son caractère ne changea en rien et Iris dû un nombre incalculable de fois défendre son amie devant le Conseil. En effet Delilah prenait déjà un malin plaisir à aller embêter les divers composants de la base ce qui ne s'améliora pas lorsque, jugée saine d'esprit, elle put intégrer les Green Bears. Rapidement ses supérieurs en vinrent à la conclusion qu'elle était bien plus douée pour le travail en solo que pour les missions de groupe aussi Delilah demanda une mutation chez les Red Tiger qui, à son goût, lui convenait bien plus.


V - Annotations Personnelles

  • Personnalité de l'avatar : Ali Larter
  • Code du règlement : Ok - Isaac
  • Pseudo/Prénom : Comment devons-nous vous appeler ? C'est une bonne question ^^' Ne graphant pas je ne me suis pas baptisée d'un quelconque pseudonyme donc disons que Zoé suffira pleinement (:
  • Age et Sexe : 19 ; Pas le premier soir — d. j. addison : « how do you want to die . » Icon_eek
  • Comment avez-vous connu le forum ? Via partenariat (Twilight Bloodsucker ou Eternal Legend) ou par Best RPG, je ne me souviens plus de la première où je suis tombée sur le forum (:
  • Présence par semaine : Le plus souvent possible, normalement présence assurée quotidiennement et en ce qui concerne les RP, sûrement 3 à 4 fois par semaine.
  • Un commentaire ? Cela faisait déjà pas mal de temps que j'avais fondu sur le personnage mais par peur de manque de temps je ne souhaitais pas m'inscrire. Finalement je tente le coup, je verrais bien :p


Dernière édition par Delilah Addison* le Mar 29 Sep - 18:59, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: — d. j. addison : « how do you want to die . »   — d. j. addison : « how do you want to die . » Icon_minitimeMar 29 Sep - 18:09

    Moi a écrit:
    Je réserve un troisième post au cas où car moi qui ne m'en pensait pas capable sur une fiche, je crois que je suis en train de pondre un pavé Rolling Eyes

    Je m'excuse d'avance pour les fautes d'orthographe qui doivent se trouver un peu partout dans la présa mais j'avoue ne pas avoir eu le courage de me relire Embarassed Finalement j'ai réussi à loger tout en supprimant deux/trois trucs. Présentation terminée, en espérant qu'elle vous plaise Very Happy
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Isaac Zylstra
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MessageSujet: Re: — d. j. addison : « how do you want to die . »   — d. j. addison : « how do you want to die . » Icon_minitimeMar 29 Sep - 18:41

Welcome!

Wow, ça c'est de la fiche. Pour les fautes d'ortho, tu peux toujours passer ton texte dans Word, ça permet d'enlever le plus gros. Mais me semble que c'est pas si pire. Wink

Manque quand même pas mal de ligne à la question : Votre réaction à la GM. XD!

Quoi que d'un côté t'as tout expliquer dans un bloc au-dessus... hum... à partir du moment où elle sort de l'hôpital psy, ça devrait faire parti de ce qui s'est passé après la guerre. En fait, c'est l'organisation de ton histoire qui ne marche au niveau des 3 questions. Faudrait peut-être tenter de mettre les différentes parties de ton histoire au bon endroit et tout serait parfait... Wink

Je vais laisser le soin à Meredith de te dire si ton perso convient ou pas, puisque c'est un pv.
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MessageSujet: Re: — d. j. addison : « how do you want to die . »   — d. j. addison : « how do you want to die . » Icon_minitimeMar 29 Sep - 19:09

    J'écris déjà sous Word donc ce ne sont pas les fautes d'orthographe pures qui m'inquiètent mais bien les "s" qui se baladent, quelques pluriels "ent" oubliés, ce genre de choses quoi Rolling Eyes

    Pour ce qui est de la question "votre réaction à la GM" tu l'as dit toi-même, j'ai placé cette partie dans mon histoire mais c'est vrai que j'ai placé ça n'importe comment Razz Je viens de remettre en ordre (fin ce que j'appelle être en ordre), je trouve cela plus lisible et surtout plus compréhensible au niveau des questions. A travers les questions l'histoire se poursuit (:

    J'attends donc l'avis de Meredith en espérant que cela conviendra J\'aime
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MessageSujet: Re: — d. j. addison : « how do you want to die . »   — d. j. addison : « how do you want to die . » Icon_minitimeMar 29 Sep - 19:22

Bonjouuuur et bienvenue ! Very Happy

J'ai commencé à lire ta fiche dès que tu l'as publié ce matin et je dois avouer que je suis tout de suite tombée sous le charme. J'attendais donc que tu l'ais terminé avec impatience, et je ne suis pas déçue : elle est parfaite (du moins s'en rapproche le plus possible parce que quand même... XD) ! Tu respectes parfaitement l'esprit du personnage que j'avais en tête, or avec un personnage pareil, je craignais le pire... En conséquence je n'ai qu'une chose à dire : Vendue ! Laughing Je te valide avec grand plaisir, et je te souhaite de bien t'amuser parmi nous !

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MessageSujet: Re: — d. j. addison : « how do you want to die . »   — d. j. addison : « how do you want to die . » Icon_minitimeMar 29 Sep - 19:25

    Merci beaucoup Very Happy J'hésitais entre Mei Lin Taylor, Cassandra Mayer & Delilah et finallement Delilah l'a emporté Héhé C'est justement l'originalité du personnage qui m'a séduite, c'est tellement rare d'en voir des comme ça *--*

    Pendant que j'y suis, pourrait-on m'enlever la petite étoile :p ?
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Meredith Mayer
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MessageSujet: Re: — d. j. addison : « how do you want to die . »   — d. j. addison : « how do you want to die . » Icon_minitimeMar 29 Sep - 19:30

Très heureuse que Delilah ait séduite une aussi bonne joueuse alors. Razz Bien que les autres PVs vont être jaloux maintenant. Arrow

J'allais justement te dire de faire attention pour ta prochaine connexion : j'ai en effet enlevé l'asterix. XD
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MessageSujet: Re: — d. j. addison : « how do you want to die . »   — d. j. addison : « how do you want to die . » Icon_minitimeMar 29 Sep - 19:50

    Je ne m'avancerai pas à dire que je suis une bonne joueuse quand même. Merci pour l'astérix Very Happy
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MessageSujet: Re: — d. j. addison : « how do you want to die . »   — d. j. addison : « how do you want to die . » Icon_minitime

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