Olcàn MacBranain

Olcàn Simon MacBranain

Olcàn MacBranain 302089olcanicone1

Personnage : Inventé

I - État Civil

Nom : MacBranain
Prénom(s) : Olcàn Simon
Surnom : Mortimer / Morty
Date de naissance - Âge : 21 Mai 1993 – 36 ans
Lieu de naissance - Nationalité : Cork, Irlande - Irlandais
Membre de : Green Bear – Et plus particulièrement, il est assigné à la surveillance de la leader quand celle-ci décide de prendre un peu l’air.
Compétences : Armes à feux (Fusil Sniper) – Discrétion
Rôle : Sniper – Ancien 1er Lieutenant chez les SAS

II - Bilan Psychologique

Description Psychologique :
S’il fallait résumer le caractère de notre ami, on peut dire qu’Olcàn a un caractère de cochon (d’irlandais même !). Pour commencer, il est donc ultra fier de ce qu’il est, un Irlandais, presque pur souche, mais ce n’est pas son côté Anglais qui prime sur le reste. Il est donc fortement déconseiller d’oser le chercher sur ce sujet, il n’hésiterait pas une seconde à faire parler ses poings au final.

C’est une forte tête, qui a rarement la langue dans sa poche, direct, il n’a pas peur de dire ce qu’il pense, même quand il fermait mieux de la fermer, ce qui lui a valu très souvent pas mal d’ennuis, mais il s’en moque bien. Baggareur, tête brûlée, casse-cou, il ne dit jamais non à une petite baston et ce n’est pas un nez cassé ou des dents en moins qui lui font peur, il est pourtant rarement réellement l’instigateur des bagarres, il rend juste le coup qu’on lui donne… même si à la base, c’est peut-être lui qui l’a cherché en premier. C’est donc un bel emmerdeur à ses heures, qui sait trouver le point faible des gens, afin de les titiller avec cela jusqu’à les sortir de leur gond, mais en général, c’est vraiment ceux qu’il a dans le nez qu’il cherche à ce point. On peut se dire que notre homme est quelque peu sanguin, ce qui est loin d’être faux.

Pourtant, quand il se retrouve avec son arme entre les mains et qu’il est en mode militaire, il devient parfaitement professionnel, quasiment froid. Concentré comme il se doit pour mener à bien les missions qu’on lui donne. Il sait que l’on compte sur lui et il ne faillirait jamais à sa tâche. Il est prêt à mourir pour défendre une cause qu’il pense être juste et pour l’instant, il serait prêt à mourir en défendant la base.

Bon vivant, il ne dira jamais non à une bonne bière ou à un moyen quelconque de faire la fête, d’une manière ou d’une autre. Il tente de profiter au mieux de la vie, de ces quelques instants de bonheur qu’elle sait quand même apporter malgré les circonstances.

Ce mec est plutôt (totalement même) fidèle en amitié, comme en amour, il ferait n’importe quoi pour ceux qui lui sont proche. Il se montre aimant envers sa compagne, peut-être parfois un peu trop protecteur et macho aux yeux de sa belle, mais ça n’empêche pas qu’ils s’entendent parfaitement tous les deux. Une chose est sûre, il peut devenir extrêmement jaloux, mieux vaut donc ne pas trop tourner autour de SA nana ou ça risque bien d’être la guerre.
Goûts, rêves et passions :
Une des choses qu’Olcàn aime faire, c’est bien d’aller s’asseoir à une table et de déguster une bonne Guiness en compagnie de son meilleur pote, Faolàn et de pouvoir discuter de tout et n’importe quoi. En ces moments plutôt difficile, c’est encore plus agréable pour lui de pouvoir parfois mettre l’attention sur OFF et de se laisser un peu aller. Bien évidement, vu que la bière commence quand même un peu à se faire rare, ils doivent se contenter d’un breuvage moins goûteux, mais au final, tant qu’ils peuvent passer un bon moment ensemble.

C’est con et il ne l’avouera jamais de vive voix, mais l’un de ses rêves, mis à part celui de pouvoir revenir à une vie normale sans machines tueuses, serait de pouvoir s’installer définitivement avec sa compagne actuelle, fonder une famille avec elle. Malgré leur caractères de me*de aux deux, il a tendance parfois à penser que c’est pour la bonne. Il le sait bien que pour l’instant, ce n’est juste qu’un rêve et qu’il est tout à fait improbable, mais qui sait…

A part ça, une de ses grandes passions, c’est le rugby, il n’hésite d’ailleurs jamais à balancer des défis aux autres teams de la base pour lancer une partie improvisée quand ils en ont le temps. Et ça permet un bon entraînement tout en s’amusant, même si parfois, ça peut être légèrement « violent », on ne se refait pas.
Peurs, phobies et cauchemars :
Sans être totalement technophobe, notre SAS a quelques soucis envers tout ce qui est électronique, ou en tous les cas, tout ce qui ressemble de près ou de loin à une machine qui lui voudrait du mal. Il a donc un peu de mal avec tout ce qui est cyborg, mais tente de faire au mieux pour les accepter, sans grande réussite d’ailleurs, se méfiant d’eux comme de la peste.
Ses peurs, sont les peurs banals que tout le monde ressent dans ce monde post-apocalyptique, il ne veut pas perdre ceux qui lui sont proche, notamment son frère d’arme et sa belle, il ne sait pas vraiment comment il pourrait vivre sans eux, il risquerait bien d’en finir lui aussi, si cela devait arriver.
Il a une certaine tendance à ne pas réellement aimer le noir total, quand on ne peut plus voir correctement sa main alors qu’elle se trouve à 1 centimètre de ses yeux par exemple, ça à le don de le stresser un minimum.

III - Bilan Physique

Description Physique :
1m80 pour 78kg, Olcàn est un homme bien bâti, presque que du muscle, mais bien réparti sur toute la surface de son corps, ce n’est pas une montagne de muscle, ni une vraie armoire à glace comme certains de ses collègues, il a juste ce qu’il faut au bon endroit, sans que cela soit réellement voyant sous les vêtements.

Il profite en général de ses temps de pause pour continuer de se tenir en forme, car plus il pourra tenir contre les machines et mieux cela pour lui. C’est une chose évidente certes, mais certains pourtant, ne semble pas prendre avec autant d’intérêt que lui ces quelques exercices qui pourraient un jour leur sauver la vie, ou qui l’on déjà fait. Il sait donc cogner dur et là où ça fait mal, mais son entraînement militaire lui a aussi appris à être assez agile et souple pour se rendre dans les endroits les plus inaccessible.

A part cela, il est le stéréotype typique de l’anglais de base, bien qu’il soit irlandais, puisque c’est un réel poil de carotte, un rouquin quoi. Des yeux d’un vert profond, dans lesquels on peut se perdre sans aucun problème, qui contraste donc avec la couleur de ses cheveux, qui peuvent variés d’un roux très clair au roux plutôt foncé, qui ferait presque croire qu’il c’est teint les cheveux dans cette couleur, tellement ça pourrait ne pas sembler normal. Mais quand on se rend compte que même sa barbe est ainsi, on comprend que ce n’est de loin pas de la teinture.

Comme tout bon rouquin qui se respecte, ce qu’il est, des tâches de rousseurs parsèment tout son visage ainsi qu’une grande parti du reste de son corps. Il n’y a pas que les tâches de rousseurs qui parsèment son corps, d’autres marques, des cicatrices son parfois visibles, souvenirs de quelques combats de bar ou de guerre qui l’ont marqués.

On le voit souvent se balader avec une barbe de 3 jours. En général, c’est parce qu’il revient d’une mission de surveillance et qu’il n’a pas vraiment prit le temps de se pouponner, après tout, il n’est pas là pour ça. Mais il ne la garde jamais très longtemps quand il se retrouve dans la base, sa belle préférant qu’il soit rasé de près.

Son style vestimentaire varie peu, il se ballade le plus souvent en tenue militaire, baggy et veste noire, portant l’écusson des SAS, holster sur la cuisse gauche (il est gaucher) et une arme blanche toujours planqué sur le mollet. Et quand il lâche enfin ses habits militaires, c’est pour les remplacer par une veste de cuir noir, des t-shirts et des jeans troués. Il quitte rarement son béret, qu’il porte généralement en arrière.

Bref, quand on le croise dans un couloir, le premier adjectif qui peut nous venir à l’esprit est qu’il peut être typé « Bad Boy ».
Bilan de santé :
En ce moment, on peut dire qu’il va plutôt bien, rien de bien méchant à l’horizon à signaler. Il a comme beaucoup d’autres, pas mal de cicatrices, témoignage de ses différents combats fait contre les machines, ou alors des coups reçu dans des bagarres qu’il a, ou pas, déclenchées. S’étant pété l’épaule dans sa jeunesse, il ressent parfois une légère douleur à ce niveau, quand le temps va changer, mais rien qui le dérange plus que cela, bien qu’en vieillissant, cette vieille blessure pourrait commencer à l’ennuyer sérieusement.
Il est allergique aux poils de chat, mais puisque c’est assez rare d’en voir dans la base, il ne risque pas grand-chose à ce niveau.

V - Annotations Personnelles

Personnalité de l'avatar : Robert Downey Jr.
Code du règlement : Ok - Meredith
Comment avez-vous connu le forum ? Deuxième compte d'Isaac.
Pseudo/Prénom : Comment devons-nous vous appeler ? Isaac
Age et Sexe : 23
Présence par semaine : Voir la fiche d’Isaac Zylstra
Un commentaire ? J’ai craqué, mais… voilà. Je m’excuse auprès des militaires de carrière qui pourraient trouver l’histoire un peu tirée par les cheveux, mais j’en suis pas un et… ce n’est qu’un jeu !

IV - Biographie

Votre vie avant la 3e GM :
Né un jour pluvieux du mois de Mai 1993, l’enfant voit le jour, ou plutôt la nuit, dans un petit hôpital de campagne dans le comté de Cork, en Irlande du Sud. Petit dernier d’une fratrie comptant 3 enfants (un frère et une sœur aînés), Olcàn arrive dans une famille qui n’a pas les moyens de vivre aisément, certes, mais qui, en se serrant un peu la ceinture, peut au moins vivre modestement.
Pourtant, l’une des grandes forces de cette famille, c’est bien de vivre en clan. Si un membre de la famille peut se trouver en difficulté, il trouvera toujours quelqu’un pour l’aider, ce qui fait qu’au final, ils ne manquaient rarement de rien.

Le jeune garçon grandit donc entouré de cette grande familles, tantes, oncles, cousins, cousines, grands-parents, sans encore se douter ou comprendre qu’une partie de ces personnes, n’étaient peut-être pas sa famille de sang, mais que c’était le sang, versé celui-ci, qui les avait tous lié un jour. En effet, les membres de ce clan font parti d’un plus grand encore, l’IRA (Irish Republican Army). Ce nom qui sonne encore toujours comme une menace aux oreilles des anglais et qui, à cette époque, n’avait même pas encore déposé les armes. Mais pour l’instant, Olcàn était bien trop jeune pour prendre part à la lutte armée (pas de doute que ça viendrait en temps voulu), non, on le faisait juste grandir dans la fierté d’être irlandais et dans une certaine haine de l’oppresseur anglais, même s’il l’était déjà moins qu’à une certaine époque.

Quand le gamin eut 5 ans, sa mère, qui était professeure, eut droit à une promotion, qui leur permettrait de mieux arrondir enfin leur fin de mois, mais pour cela, il leur fallait déménager, dans la ville de Belfast. Et c’est après de longues discussions que son père accepta enfin de s’y rendre, lui ayant plutôt l’impression d’entrer directement en territoire ennemi qu’autre chose. S’il le faisait, c’était d’abord pour permettre à sa famille de mieux vivre de leur propre revenu et celui qui était considéré comme la tête pensante de cette partie de la garde armée ne trouva pas si mal d’envoyer l’un des leurs de l’autre côté de la frontière, après tout, le père MacBranain n’était pas encore assez connu des services de police anglais pour que ceux-ci s’inquiète de sa présence dans la capitale du Nord. La petite famille déménagea donc dans les mois suivant à la capitale.

Le pauvre petit devait donc apprendre à vivre moins entouré, seulement de son frère et sa sœur, lui qui avait l’habitude de voir tout le temps du monde à la baraque et de n’être quasiment jamais seul, fallait bien avouer que ça lui faisait un choc ce changement de décors. Et s’il n’y avait que cela… la ville était énorme, lui qui avait l’habitude de son « village de campagne », Belfast n’avait absolument rien avoir avec Cork. Enfin, heureusement qu’à son âge, on sait plus rapidement s’adapter à son nouvel environnement, ses parents ne doutaient pas que le bambin se ferait rapidement de nouveaux amis sans problème. Et ils eurent bien raison.

A l’époque, Olcàn était plutôt du genre chétif, donc du style à être attaquable par un plus balèze que lui, si par exemple il souhaitait lui chourer son goûter. C’était bien sûr, sans réfléchir plus loin que le bout de son nez, puisque le gamin en question était du genre teigne et pas près à se laisser faire pour 1£. Et d’ailleurs, la terreur de la cour de récré ne manqua pas d’en faire les frais, alors qu’il venait le menacer, le rouquin ne manqua pas de lui sauter dessus dès que celui-ci eu le dos tourner en emportant son butin. Ce que le gamin ne savait pas, c’est qu’un autre viendrait à son aide très rapidement. Les deux mômes ne manquèrent donc pas de faire détaler la grosse brute et après un regard, le garçon sentait que celui qui lui faisait face à ce moment, ça serait à la vie à la mort. Faolàn MacBrath prit donc une part plus qu’importante dans la vie de notre protagoniste.

Les deux gamins ne se lâchèrent plus d’une semelle et ils grandirent donc ensemble. Très rapidement, ils se considèrent comme frère et l’on pouvait se demander, parfois, si ce n’était pas sérieusement le cas, tellement les deux jeunes garçons étaient sur la même longueur d’onde.

En devenant ado, Olcàn commença à rejoindre les groupes de jeunes fouteurs de trouble dans les rues de Belfast, la belle relève de l’IRA en pleine action. Il en était carrément à trouver le truc plutôt « cool », de devoir balancer des pavés sur les forces de police et de filer ensuite le plus rapidement possible sans se faire attraper. Un jeu auquel son pote et lui avaient fini par exceller. Mais ses années d’ «insouciance » se virent troublées par le décès brutal de sa mère. Un rhume de poitrine foudroyant, aperçu trop tard. L’adolescent fût très affecté par cette perte et compensa son chagrin en mettant un peu plus d’ardeur dans les face à face avec la police.

Jusqu’à ses 18 ans, il devint quelque peu incontrôlable et son père, comprenant que son fils devenait un danger pour tous, pour lui d’abord, ensuite pour les autres ou encore pour la couverture qu’il utilisait pour aider l’IRA en lui faisant passer des armes, le fit prendre le taureau par les cornes et l’amena de force au bureau de recrutement le plus proche. Et voilà que le jeune se retrouvait sous les drapeaux anglais… cherchez l’erreur !? Evidement, un autre l’avait suivit dans cette voie, sans surprise donc, il se retrouva avec son pote Fao en plein chez ce qu’il voyait encore comme l’ennemi, enfin, accompagné de son ami il savait qu’ils se tiendraient au moins les coudes pour ce qui les attendait. Ils comprirent bien vite que si on les avait engagés de force dans l’armée Britannique, c’était aussi pour pouvoir installer de nouvelles taupes en son sein, afin de prévoir les futures actions.

Pour cela, les deux jeunes devaient être motivés et… ils ne l’étaient qu’à moitié ! Les premiers mois furent les plus pénibles, le rouquin ayant un mal de chien avec l’autorité, il passa de nombreux jours au trou. Et malgré son caractère de m*rde, on décida de l’utiliser à bon escient. Puisqu’il avait de l’énergie à revendre et qu’il pouvait courir dans les mêlées tête baissées, sans réfléchir et sans craintes, il fût muté de compagnie pour rejoindre alors le corps plutôt fermée des SAS, rejoins d’ailleurs, encore une fois par son frère d’armes, les chefs ayant cru voir en eux deux, un duo de choc, s’ils étaient bien mis à profit.

Etonnamment et malgré l’entraînement encore plus dur et intensif qu’ils subissaient, Olcàn se sentit enfin à sa place. Son attitude changea alors radicalement, de celui qui faisait tout pour se faire mettre dehors, il décida de devenir l’un des meilleurs de la troupe d’élite. Acceptant les ordres sans rechigner, motivant les autres, devenant très professionnel dans ce qu’il faisait, il se découvrit même un talent pour mener les autres. Tout cela lui valu son premier payement de galon et il put rejoindre les tireurs d’élite de la section, pour son plus grand bonheur.
Après quelques années, les chefs décidèrent qu’il était temps que ces deux petites têtes d’irlandais fassent sérieusement leur preuve. Entre temps, l’IRA avait totalement déposée les armes, mais il ne s’en souciait plus vraiment, lui avait enfin trouvé ce qui lui convenait le mieux et il ne le changerait pour rien au monde.

C’était donc accompagné de son spotteur, le caporal MacBrath (et ça vous étonne encore ?) qu’il se rendit donc en Corée du Nord, pour une mission top secrète sous couvert de… l’OTAN. Quand ils revinrent de cette mission, les autorités Nord-Coréennes se demandaient encore qu’est-ce qui avait bien pu se passer, seule une balle en plein milieu du front de la cible était visible, mais personne n’avait signé l’attentat…

Fort de cette mission plus que réussie les deux hommes à leur retour au bercail eurent droit à une nouvelle promotion, les faisant passer chacun au grade de 1er Lieutenant pour Olcàn et 2ème Lieutenant pour Fao. Au final, cette vie professionnelle leur réussissait plutôt bien !
Votre réaction à la GM :
On ne leur laissa pas le temps de se reposer sur leurs lauriers et ils se firent bien vite envoyé pour une nouvelle mission, cette fois-ci direction les Etats-Unis. Les tentions qui commençaient à se faire sentir un peu partout rendait les pays quelque peu parano et les Britanniques ne faisaient absolument pas exception à la règle. Ils avaient pour ordre de garder à l’œil certains sénateurs qui semblaient avoir des contacts plutôt spéciaux et s’ils se montraient qu’ils étaient dangereux pour les Royaume-Unis, la suite des ordres était bien d’éliminer les cibles, sans autre forme de procès. Si possible, sans que l’on puisse savoir d’où pouvait provenir l’attaque, mission habituelle quoi.

Olcàn accepta les ordres sans rechigner et partit donc pour le nouveau continent. Il suivait pourtant de près tout ce qui était en train de se passer et ne pouvait pas passer outre le fait que les tentions internationales devenaient de plus en plus grandes, même si à l’instant où il prenait l’avion, tout était encore loin du conflit qui s’annonçait. Mais quelques signes annonciateurs commençaient gentiment à pointer. Rien que le fait qu’on les envoyait eux, en mission pareille, voulait bien dire que le gouvernement ne dormait pas sur ses deux oreilles. Ce que l’homme ne comprenait peut-être pas totalement, c’était pourquoi on l’envoyait sur le sol d’un allié pour en surveiller ses hommes politiques, plutôt que dans un pays ennemi. Mais bien qu’il sache l’ouvrir quand on l’emmerdait trop, il n’était pas non plus du genre à vouloir trop réfléchir aux ordres donnés par le Colonel des armées en personne. Oui, il tenait à sa place… quand même !

La surveillance commença donc, mais les événements internationaux allaient radicalement tout changer. Déjà que l’Irlandais n’était réellement pas convaincu par le concept Skynet dès le départ qu’il en entendit parler, même si l’idée en elle-même était plus qu’intéressante. Les ordres changèrent alors radicalement, quand la menace américaine se fit alors plus forte, il fallait aider ceux qui s’opposaient à utiliser un procédé pareil, mais c’était assurément déjà trop tard. Il vit rapidement que comme pas mal de monde, il avait été loin de se tromper sur le compte de ce programme de protection et assista totalement impuissant aux dérapages du programme qui allait entraîner l’humanité à sa perte.

Et ça n’avait duré qu’1 mois…
Comment avez-vous survécu depuis ?
Puisque tout contact avec le pays était désormais impossible, ils avaient rejoint sans tarder les hommes du Colonel O’Neill, pensant que c’était bien le meilleur moyen de prendre part au combat et de tenter de sauver les gens qui pouvaient encore l’être. Après tout, ils avaient aussi été entraîné pour cela et ça pouvait être horrible à dire, mais il n’y avait pas meilleur moyen que ce conflit pour mettre en œuvre tout ce qu’ils avaient appris pendant leurs divers entraînements et missions. Ils venaient donc de rejoindre la Résistance.

Quand Olcàn apprit que certains s’étaient attelés à la création de base pour protéger les civils et militaires dans les prochaines années à venir, il se porta bien vite volontaire pour aider à la mise en place de périmètre de sécurité dans l’une d’entre elle. On l’envoya alors à Niagara Falls, où le nom du leader ne manqua pas rapidement de lui faire tilt, Meredith Mayer avait fait partie de cette liste de sénateur à surveiller de près, dont on avait d’ailleurs rapidement écarté le nom, aux vues de la non-menace qu’elle représentait à l’époque pour la Grande-Bretagne. L’homme savait parfaitement que depuis cette attaque de Skynet, les pays n’en étaient plus réellement, que les priorités avaient changées et lui était prêt à mettre tout en œuvre pour qu’ils voient un jour le bout de ce satané tunnel !

Prenant donc son travail très à cœur, comme la plupart des gens de la base, il ne manqua pas, avec son ami, de se faire remarquer pour ses quelques traits de caractères. Mais une chose était certaines, il pouvait être une sale tête, quand il se retrouvait avec son fusil dans les mains à surveiller les alentours de la base, plus rien d’autre ne comptait et il se montrait plutôt bien efficace. Faisant parti de ceux qui étaient là depuis le début, on leur confia la mission de s’occuper de la surveillance de la patronne quand celle-ci décidait d’aller se dégourdir les jambes à l’air libre, pas de problème pour nos deux snipers, il lui devait bien ça, au final.

C’est aussi dans cette base qu’il fit la rencontre de Jen Johnstone, une femme qui allait changer pas mal de chose dans sa façon de faire, l’assagir grandement en tous les cas. Avec un fort caractère elle aussi, ils ne manquèrent pas au début de se prendre le bec pour un rien, avant de se rendre compte qu’à force, ils s’appréciaient grandement tous les deux et qu’au final… les engueulades se terminèrent de manière fort agréable pour tous les deux. Leur vie de couple est un peu compliquée, vu les temps qui courent, mais ils tiennent bon et ne manquent pas d’apprécier chaque moment passés ensemble, même si parfois ils s’avèrent être assez court. Mais tant qu’ils sont ensemble, le reste importe peu.

Comme le dit si bien l’adage… quoi qu’il se passe, la vie doit bien continuer, tant bien que mal.

Invité

ONMONDIEUOHMONDIEU Waaah !

Damian Lewis *tombe dans les pommes*
Damian Lewis, quoi. Cet acteur est trop trooo[...]oop génial. I love you

Excellent choix de vava. Love

Et, si je comprends bien, inutile de souhaiter la bienvenue. Sifflote

Je me sens inculte, je connais pas du tout, du tout c'tacteur (et non, j'ai pas vu Band of Brothers). ^^'

En tout cas, pour ce qui est de la fiche en elle-même : elle est parfaite ! Very Happy