William Queen
Nombre de messages : 62
Age : 30
Age : 17 ans
Spécialité : Observation et analyse
Armes à feux
Date d'inscription : 12/03/2010
Dossier personnel
Bilan de Santé: .R.A.S.
Relations:
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 Sujet: .:William Queen - Demain est un autre jour.  Ven 12 Mar - 23:29 |
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William Queen
Personnage :Inventé
I - État Civil
- Nom : Queen
- Prénom : William (Will ou Willy selon la personne)
- Date de naissance - Âge : 16 avril 2012 - 17 ans
- Lieu de naissance - Nationalité : Stamford (Connecticut) - Américain
- Membre de : Hum... aucun groupe pour l'instant, je pense.
- Compétences : Armes à feux - Observation et analyse
- Rôle :Ah, c'est une bonne question! Il n'en a pas encore.
II - Bilan Psychologique
- Description Psychologique :
Si William fut un jour égoïste, cet aspect de sa personnalité a été complètement effacé par le temps. Aimant se rendre utile, le garçon a la plupart du temps le sourire aux lèvres, soit moqueur, soit doux, selon les circonstances. En effet, il lui arrive d'être particulièrement insupportable surtout avec les personnes qu'il apprécie (qui aime bien, châtie bien, c'est ce qu'on dit!). Jouant de l'ironie comme d'un revolver (pan! pan! ah j't'ai eu!), William s'en sert souvent comme d'une défense, lorsqu'il devient trop proche de quelqu'un. Pas qu'il aime la solitude, bien au contraire, mais la proximité d'une personne lui fait toujours peur et il a la fâcheuse tendance à prendre la fuite dans ce genre de situation. Il a aussi de forts penchants à la paranoïa et réagit au quart de tour, de manière parfois disproportionnée. Il évite tout particulièrement les pots-de-colles ("pas moyen d'être tranquille"), les bavards ("votre vie ne m'intéresse pas"), ainsi que les petites natures ("no comment"). Si toutefois il a le malheur d'en rencontrer un sur son chemin, il y a de fortes chances pour qu'il fasse passer ses envies après celle du pot-de-colle/bavard/petite nature et se comporte avec lui/elle comme si de rien n'était. Hypocrite? Plutôt un intérêt pour le bien-être d'autrui, aussi chiant soit-il.
Sur le terrain, William est plus homme qu'adolescent, courageux et vif, il aspire avant tout à protéger la vie de ses compagnons. Il agit avec prudence et réflexion, analysant les possibilités à leur portée (pas trop longtemps quand même hein). Il ne craint ni la mort ni la douleur, être conduit dans un camp de prisonnier, en revanche, est une idée qui le terrorise. Franc tireur, il sait néanmoins que ce n'est pas suffisant pour affronter un robot, en aillant déjà fait l'expérience, causant la mort d'un de ses amis, événement qui le marqua fortement et qui est d'ailleurs l'une de deux raisons expliquant son attitude solitaire, l'autre étant qu'il tient plus que tout à la liberté.
Malgré tout ça, William reste un adolescent comme les autres, aimant rire et fainéanter bien qu'il n'en ait pas souvent l'occasion. D'un naturel optimiste, il tente de rendre la vie des autres plus facile mais comme il le dit si bien:
« C’est pas du gâteau ! »
Néanmoins, Will a aussi ses mauvais jours, parfois lunatique, il lui arrive de devenir agressif sans raisons visibles, de se renfermer brusquement sur lui même et de fuir tout contact. Certaines mauvaises langues diront que le jeune homme n'a pas la conscience tranquille, et ... ils n'auront malheureusement pas tort. Accablé par une culpabilité pas forcément justifiée, William ressasse sans cesse les événements passés en se demandant ce qu'il aurait pu faire pour éviter ça. On refait le monde avec des si. C'est ce qui explique qu'il n'élabore aucun plan pour le futur et vit à peine le moment présent, trop pris par les souvenirs, hanté par ses fantômes.
Il n'est pas rare de croiser William en pleine contemplation d'un mur ou d'un plafond (au choix), perdu dans ses pensées, ses rêves. Il est aussi assez fréquent qu'il ne soit pas très concentré sur la conversation et qu'il interrompe son interlocuteur pour lui faire part d'une observation qu'il se fait. Trop attentif aux détails extérieur pour se pencher sur des choses qu'il a tendance à considérer comme superflues, il est pourtant lui même très bavard. Assez paradoxal.
- Goûts, rêves et passions :
Ca peut paraître assez étrange mais William adore les nuages ainsi que les grandes espaces verts (les forêts, les plaines etc...). Il n'a pas eu l'occasion d'admirer ces paysages souvent et il rêve de pouvoir un jour s'étendre dans l'herbe verte et tendre, encore humide de rosée, et d'observer un ciel bleu autant qu'il lui plairait. Sa conception du bonheur se résume en un mot: liberté.
Si le jeune homme devait avoir un rêve bien précis, ça serait sans doute de sillonner le monde à la recherche de résistants, ou même de gens encore vivants, reculés du monde. Bien sur, ce n'est pas d'actualité, mais, tant qu'à mourir, autant mourir pour un but bien défini et si en plus, sa présence pouvait sauver quelques personnes, c'est tout bon.
Côté, c'est le grand vide, autant dire que pas grand chose ne passionne le garçon hormis les voyages et les gens. C'est déjà pas mal, direz-vous, mais les deux sont espèce en voie d'extinction par les temps qui courent. William ronge donc son frein en attendant un monde meilleur. L'espoir fait vivre.
- Peurs, phobies et cauchemars :
William est claustrophobe. Mais à un degré très élevé: la simple vue d'un placard lui donne des frissons. Il ne supporte pas non plus d'être attaché ou qu'on lui bande les yeux, bref, il a du mal à faire confiance aux autres. Il ne craint ni la mort, ni la douleur mais un endroit étroit et clos ou de banales menottes le font frémir. Sans doute le résultat de mauvaises expériences durant son enfance.
Ses cauchemars, eux en revanche, ne sont pas très concrets, des cris, des pleurs, des gens qui courent... Peut-être William revit-il son enfance en rêves, qui sait? Le jeune homme n'aime pas parler de ça et reste assez secret sur le pourquoi de ses insomnies.
D'ailleurs, même en temps normal, William n'aime pas beaucoup à parler de son passé, et lorsqu'il le fait, ce n'est qu'à mots couverts. Les psychologues d'avant auraient sans doute dit que c'est ce manque d'extériorisation qui provoque ces cauchemars mais les psychologues d'avant ne sont plus là et William fait semblant de l'ignorer.
Pour finir, William se refusera toujours de l'avouer, mais les gens (les gens vivants entendons nous bien) lui font une trouille bleue et même s'il semble gérer en apparence, un fort complexe d'infériorité le taraude face aux vivants.
III - Bilan Physique
- Description Physique :
Au premier abord, William peut paraître fragile, une peau blanche comme celle d'une poupée de porcelaine, les yeux d'un bleu ressemblant à celui d'un ciel d'été brillant souvent d'une lueur espiègle, des cheveux mi-longs et blond... Presque une barbie au masculin!
Néanmoins lorsque l'on s'approche de plus près, on remarque qu'il s'agit en fait d'un jeune homme déjà fort. Mesurant 1m75, pour environ 67 kilos, William est quelqu'un d'équilibré (du moins physiquement parlant).
Côté signes distinctifs, on peut apercevoir le chiffre 2 tatoué sur son épaule, souvenir de son passage au camp, ainsi que de nombreuses cicatrices dans son dos et au poignet, qui ont la même origine que le tatouage.
Sa démarche est nonchalante, comme celle d'un chat et elle a l'avantage d'être silencieuse.
Pour finir, je dirais que William possède un certain charme, bien que loin d'être imposant, entouré par une aura mystérieuse qui en effraie plus d'un. Il est difficile parfois de savoir sur quel pied danser avec lui, son visage exprimant plus de lassitude que ce qu'il en est réellement.
- Bilan de santé :
Victime d'insomnies, William n'en souffre pas particulièrement tant qu'il peut dormir deux ou trois heures de plus dans la journée. Hormis ça, rien à signaler.
IV - Biographie
- Votre vie avant la 3e GM :
She's never come back... is she?
« M'enfin William, tu ne peux pas t'appeler comme ça! »
« Siiii! »
« Mais ce n'est pas un nom ça, Queen! »
« La Reine Elizabeth elle s'appelait bien comme ça! »
« Mais non voyons, On disait Queen Elizabeth parce que c'était la Reine! Et qui t'as parlé de ça d'ailleurs? »
« J'm'en fiche! Je veux m'appeler Queen! »
La directrice soupira, William était vraiment insupportable par moment.
« Très bien! Tu t'appelleras donc William Queen. »
« Ouaiiis! »
« Mais ne viens pas te plaindre si ta maman ne te reconnait pas quand elle viendra te chercher! »
« Oh mais je suis sûr qu'elle me reconnaitra quand même! »
« Oui c'est sur, elle reconnaitrait son monstre partout où elle irait! »
« Je suis pas un monstre! Je suis... euh... un ange! »
« Toi un ange laisse moi rire! »
Miss McLoyd était directrice de l'orphelinat de Stamford depuis plus de quinze ans et connaissait William depuis son arrivée, six ans auparavant. William était né sous X, il n'y avait donc aucune chance pour que sa mère chercha à le retrouver, mais elle ne voulait pas briser les espoirs du petit. Elle ébouriffa ses cheveux et il rit.
« Regarde moi ça! Est ce que tu t'es coiffé ce matin? »
« Comme tout les matins! »
« Ce qui veut dire que tu ne t'es pas coiffé. C'est un grand jour pourtant, tu as ton nom de grande personne maintenant! »
« Justement, je voulais être comme je le suis tout les jours pour éviter de prendre la grosse tête! »
« C'est encore Andrew qui t'as conseillé de faire ça, n'est ce pas? »
« Lui dite pas que je vous l'ai dit hein! »
Puis le visage du garçon s'assombrit, son sourire se fanât et il baissa les yeux. Au son de sa voix, elle sentit qu'il retenait ses larmes:
« Elle ne reviendra jamais... pas vrai? »
- Votre réaction à la GM :
Sauvez Willy!
Lorsque la Troisième Guerre Mondiale éclata, le jeune William n'avait que sept ans, difficile alors pour lui de se rendre compte de ce qui se passait et puis comme tout les enfants de son âge, il jouait couramment à la guerre dans la cour de récrée. Pour lui, tout ça avait un goût tout à fait irréel jusqu'à un certain jour.
William dormait profondément, il avait vu une bicyclette qui lui plaisait beaucoup pendant la journée et il en rêvait à cet instant même. Il emmènerait Andrew et Sandra avec lui à bicycleetttteee. Oui la chanson aussi faisait parti de son rêve. Ils s'en iraient loin de la méchante sorcière (même s'il l'aimait bien) qui servait de directrice à l'orphelinat et ensemble ils feraient le tour du monde. Puis Sandra et Andrew se marieraient. Oh, il aimait bien Sandra mais Andrew lui, l'adorait, lorsqu'il avait un peu d'argent il en profitait tout le temps pour lui acheter des cadeaux ou des chocolats.
William fut réveillé par une alarme pour le moins angoissante et il remarqua qu'autour de lui les enfants étaient déjà tous debout et habillés. Il se leva dans son pyjama Bugs Bunny, encore ensommeillé et se frotta les yeux. Après quelques secondes, il se dirigeât vers Andrew.
« Andrew... pourquoi t'es habillé? T'es somna...somne...euh... tu sais là le truc où les gens font des choses en dormant. »
« La directrice est venu nous dire de nous habiller y a plus d'une demi-heure tu t'souviens pas? »
« Non ça me dit rien... »
Andrew sourit à son ami tandis que celui ci se disait que finalement, ça lui disait bien quelque chose et que la directrice lui avait bien dit de s'habiller avant d'aller acheter sa bicyclette.
« Mince alors, j'ai fait un rêve prémonitoire! La directrice m'a dit la même chose dans mon rêve et après ça j'ai été acheté la bicyclette qu'on a vu ce matin, ensuite toi et Sandra vous vous marriez et on faisait le tour du monde... »
« T'es divin! »
« On dit devin les garçons. »
Une jeune femme les avait rejoints pendant leur discussion. William la trouva très belle mais aussi effrayante dans sa longue robe blanche.
« Venez les enfants, il faut partir désormais. Mais il est pas encore habillé ce petit?? »
Un homme barbu se tenait dans le pas de la porte.
« J'en ai bien peur Eric. »
« On ne peut pas attendre plus longtemps. Tant pis, prends le avec toi. »
La jeune femme souleva William et toute la petite troupe se déplaça. Les onze autres enfants suivirent les adultes, parce qu'après tout on leur avait toujours dit de bien faire ce qu'on leur disait. Puis il fallu courir, des gens criaient et William reconnu la voix de Sandra. Elle devait encore avoir vu une araignée, quelle trouillarde! Ils sortirent dehors et l'enfer se déchaîna. Des gens couvert de rouge courraient dans tout les sens, pleuraient, l'orphelinat, quant à lui, brûlait de part et d'autres. L'alarme retentissait toujours, le garçon aperçut une silhouette mécanique sortir du bâtiment alors qu'ils montaient dans la voiture. La voiture démarra et ils abandonnèrent tout ces pauvres gens à la mort et à la souffrance. Cette vision resta longtemps ancrée dans l'esprit de William alors qu'Andrew, trop abasourdi, n'avait rien compris à la scène, comme la plupart des enfants.
- Comment avez-vous survécu depuis ?
God save the Queen!
Il se réveilla, un goût de sang dans la bouche et de la poussière le fit tousser. Il cracha quelque chose de liquide et rouge qui correspondait assez bien, il fallait le dire, au goût que ça avait. Sa tête le faisait souffrir à un point insupportable, qui était-il déjà? Pas moyen de s'en souvenir. Il tenta de bouger. Impossible. Il regarda ses jambes. Du moins essaya, une poutre ou quelque chose s'y avoisinant lui bouchait la vue. C'était donc pour ça qu'il ne les sentait plus. Bien.
Il fit un rapide tour de la situation: il était coincé sous une poutre, entouré de cadavres d'adolescents, il avait du recevoir quelque chose sur la tête vu la douleur et ce qui lui coulait dans les yeux. Bon, Elizabeth... Reine... Queen, voilà, c'était une partie de son nom. Et le reste? Le prince... le prince comment... William! William Queen, ouf! Il se souvenait de ça, c'était déjà bien.
Il leva les yeux et remarqua une ouverture dans le plafond du bâtiment, lui ouvrant une vue sur un beau ciel bleu. Lui qui avait toujours rêvé d'en contempler un, il trouvait ça un peu ironique que ça se fasse alors qu'il n'avait guère espoir de sortir de là. Will n'était pas croyant, mais s'il devait mourir maintenant autant s'adresser à Lui tant qu'il en avait encore l'occasion (pour sûr, il n'irait pas au Paradis, il y avait peu de chance qu'il le rencontre).
« Alors c'est comme ça? Tu as vu le pétrin dans lequel tu m'as fourré? Oh oui, je te vois venir avec ton air innocent! Mais oui c'est ta faute! C'est bien toi qui a envoyé ces gars sur mon chemin il y a dix ans! Revenons un peu là dessus tu veux bien, je pense qu'on a des choses à se dire. Enfin surtout moi... »
Contrairement à ce qu'on pourrait croire, le jeune homme n'était pas devenu fou. Pas encore. Ce discours était l'œuvre de la douleur et de la fatigue, sans doute de la fièvre aussi.
« Une douzaine d'enfants, dont moi même, ont été sauvés des robots par un couple. Puis amenés au Mexique, oui ça je suis sûr que tu t'en souviens. Qu'advient-il par la suite? Bonne question. L'Allemagne nazie à échelle réduite. Est ce que tu pensais qu'en plaçant les hommes en situation de mort imminente, tu les rendrais meilleurs? Laisse-moi te dire que t'as vraiment raté ton coup! Il existe toujours des hommes méchants par nature. Ceux qui nous ont recueillis faisaient partis de ceux là. Ils devaient sans doute être fous aussi. Ils pensaient sincèrement pouvoir arrêter Skynet grâce à nous. Si si, je t'assure! Ils étaient une dizaine d'hommes d'âges murs, des anciens soldats pour la plupart, très doués il faut le dire puisqu’ils arrivèrent à réunir dans un même endroit un peu plus de cinquante enfants/adolescents venus des quatre coins du monde. Oui ceux là même qui sont éparpillés partout dans le bâtiment. En un seul morceau ou plusieurs j'imagine. Tiens tu vois celui là, là bas? »
William montre d'un mouvement de la tête (qui déclencha une vive migraine soit dit en passant) un homme allongé par terre plus loin, mort visiblement.
« Il s'appelait Andrew, c'était l'un de mes seuls amis. Je sais ce que tu penses mais l'amitié n'était pas un sentiment autorisé au camp. Seuls l'agressivité, la rage et l'indifférence étaient tolérés. Pourquoi des adolescents ou des enfants me diras-tu? Eh bien parce que les enfants sont plus influençables et que les adolescents sont sujets aux crises de "je déteste tout le monde" mais je ne t'apprends rien. Remarque que parfois des adultes arrivaient parfois avec leurs gosses, mais ils étaient vite renvoyés. Qui voudraient que son petit devienne un combattant? Avant la guerre, il parait que les enfants soldats étaient quelque chose qui horrifiaient les populations. Les temps ont bien changés j'ai l'impression. Skynet est apparu. La fin justifie les moyens pas vrai? Bref, Dés l'âge de six ans, nous étions entrainés à nous battre et à utiliser des armes, comme si ça avait une quelconque utilité. Remarque que j'avais sept ans lorsque j'arrivai! J'échappai donc à un an d'apprentissage. Ouf! La vie a continué comme ça pendant dix ans. J'ai souvent été puni, pourtant j'étais très sage et discipliné! Je le jure sur ta tête.»
Le garçon se tut un instant et le silence s'installa. Il n'y avait aucun bruit, pas de râles de quelqu'un qui agonise, ni les pleurs d'un survivant. William reprit:
« J'avoue, c'était une tentative d'assassinat. Où est ce que j'en étais? Ah oui. On avait jusqu'alors eu aucun problème mais nos "directeurs" ont décidé de passer à l'attaque il y a de ça quelque mois et on a du traverser tout les Etats Unis jusque ici, attendant sagement que des robots nous tombent dessus. Ca n'a pas manqué. Bien sur, nous, les soldats, on savait que ça allait foirer mais le dire aux directeurs c'était signer son arrêt de mort. Alors on a fait comme si de rien n'était et on est venus, en priant pour ne croiser aucun robot. »
William regarda autour de lui, les corps étaient déjà raides.
« Comme tu le vois ça n'a pas été une réussite.»
Le jeune homme se demandait pourquoi il était toujours vivant, il aurait du être tué par les robots ou emmené dans un camp. Mais non. A moins... qu'ils soient toujours là? Il frissonna. Que faire? Il entendit des pas. C'était la faute à pas de chance. En plus, il avait terriblement envie de dormir.
Il jeta un coup d'œil aux cadavres et décida que mort pour mort, autant rendre un dernier hommage à ses compagnons et amis, il posa une main (qui d'ailleurs était drôlement amochée) sur sa poitrine et se mit à chanter l'hymne américain dans l'espoir d'attirer l'attention:
« O, thus be it ever when freemen shall stand,
Between their lov'd homes and the war's desolation;
Blest with vict'ry and peace, may the heav'n-rescued land
Praise the Pow'r that hath made and preserv'd us as a nation! »
Un faisceau lumineux illumina son visage, l'aveugla un instant et des visages humains lui apparurent. Il était sauvé.
V - Annotations Personnelles
- Personnalité de l'avatar : Leonardo Dicaprio
- Code du règlement : Ok - Isaac
- Pseudo/Prénom : Comment devons-nous vous appeler ? Will, ça sera très bien =)
- Age et Sexe : 16 ans, féminin
- Comment avez-vous connu le forum ? Par une pub sur l'un des forums où je suis
- Présence par semaine : J'essaierais d'être là tout les jours.
- Un commentaire ? Pas vraiment non, j'aime beaucoup le contexte ainsi que le design, c'est un chouette forum!
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